"Ça aurait vraiment pu mal se terminer". En mars 2009, Nicolas Sarkozy a bien failli être victime d’un accident d’avion. Un événement tragique que retrace son ami Didier Barbelivien, dans son livre Pleure pas nostalgie.
Invité sur le plateau de C à vous, le compositeur, fervent soutien et ami de l’ancien président, raconte ce jour où ils se sont envolés vers le Congo. “On est dans l’avion présidentiel et on se croit intouchable. Or l’avion au démarrage du Bourget, il est allé se mettre en bout de piste pour décoller, et sur le trajet du départ au bout de la piste, il a explosé le réacteur droit”, se souvient-il.
"On peut être dans l’A320 présidentiel et risquer sa vie quand même"
Il se souvient alors que l’époux de Carla Bruni était "livide, blanc".“Ça a fait un bruit horrible, tout le monde s’est dit 'qu’est-ce qu’il se passe'. On pouvait plus voler donc tout le monde est descendu, le président en dernier. Et moi j’étais parmi les derniers à descendre avec ma femme aussi. Le commandant est venu vers nous et là j’ai posé la question : 'C’est quand même grave ce qu’il vient d’arriver'. Il me dit : 'là non ce n’est pas très grave. On va changer d’avion'".
Invité sur le plateau de C à vous, le compositeur, fervent soutien et ami de l’ancien président, raconte ce jour où ils se sont envolés vers le Congo. “On est dans l’avion présidentiel et on se croit intouchable. Or l’avion au démarrage du Bourget, il est allé se mettre en bout de piste pour décoller, et sur le trajet du départ au bout de la piste, il a explosé le réacteur droit”, se souvient-il.
"On peut être dans l’A320 présidentiel et risquer sa vie quand même"
Il se souvient alors que l’époux de Carla Bruni était "livide, blanc".“Ça a fait un bruit horrible, tout le monde s’est dit 'qu’est-ce qu’il se passe'. On pouvait plus voler donc tout le monde est descendu, le président en dernier. Et moi j’étais parmi les derniers à descendre avec ma femme aussi. Le commandant est venu vers nous et là j’ai posé la question : 'C’est quand même grave ce qu’il vient d’arriver'. Il me dit : 'là non ce n’est pas très grave. On va changer d’avion'".