Les impacts consécutifs au reprofilage des voies naturelles ayant fait affluer des quantités importantes d’eau pluviale dans le Lac Rose, continuent de plus belle.
Après l’activité dans le secteur sel ayant causé des dégâts énormes, c’est au tour de certains réceptifs hôteliers ainsi qu’une douzaine de boutiques de produits artisanaux situés aux abords du lac, d’être touchés. «Il y a certains établissements hôteliers qui sont impactés, c’est le cas de l’hôtel Trarza, de l’Hôtel Palal aussi, ainsi que des boutiques de vente de produits d’artisanat complètement emportées par les eaux», a indiqué dimanche, Ismaïla Dionne, directeur de la Réglementation touristique au ministère du Tourisme et des Transports aériens, venu s’enquérir de la situation.
Les cours et plusieurs parties de ces réceptifs, qui reçoivent pourtant encore des clients, sont assiégées par les eaux débordant du lac. Des briques sont superposées pour permettre le déplacement in situ. «On peut dire que c’est un problème qui se passe un peu partout au Sénégal, mais nous, avec notre travail, on est vraiment impactés», a dit Khady Diaw, directrice d’un des réceptifs touchés. «Depuis 2008 que je suis là, c’est la première fois que je vois ce phénomène», a-t-elle poursuivi, se félicitant de la venue de la délégation du ministère du Tourisme. «Pour le moment, on ne peut pas parler de chiffre d’affaires, parce que ça fait trois ou quatre jours qu’on est dans l’eau, peut-être que dans six mois, on pourra voir les impacts sur le chiffre d’affaires», a-t-elle ainsi conclu.
Revenant sur l’objet de sa visite, le Secrétaire général d’insister : «Un phénomène naturel fait appel à des solutions structurelles beaucoup plus complexes et là, on pourra, avec tous les acteurs étatiques comme non étatiques, déterminer quel accompagnement apporter pour soulager ce site qu’est le Lac Rose, qui est une attraction touristique, en plus d’être un site classé patrimoine de l’Unesco».
Il a par ailleurs fait savoir que des solutions conjoncturelles vont être trouvées. «Le ministère saura se mettre à table avec les différentes parties impliquées pour voir le mode de soutien le plus approprié pour les accompagner. Tout ce qu’on peut dire aujourd’hui, c’est que le ministère restera aux côtés des acteurs pour les accompagner et voir avec eux, les meilleurs moyens pour trouver une solution», a-t-il estimé. Dans le souci de soulager certaines zones de la banlieue et de Sangalkam, les voies d’eau avaient été reprofilées pour permettre l’acheminement des eaux de pluie vers le lac.
Après l’activité dans le secteur sel ayant causé des dégâts énormes, c’est au tour de certains réceptifs hôteliers ainsi qu’une douzaine de boutiques de produits artisanaux situés aux abords du lac, d’être touchés. «Il y a certains établissements hôteliers qui sont impactés, c’est le cas de l’hôtel Trarza, de l’Hôtel Palal aussi, ainsi que des boutiques de vente de produits d’artisanat complètement emportées par les eaux», a indiqué dimanche, Ismaïla Dionne, directeur de la Réglementation touristique au ministère du Tourisme et des Transports aériens, venu s’enquérir de la situation.
Les cours et plusieurs parties de ces réceptifs, qui reçoivent pourtant encore des clients, sont assiégées par les eaux débordant du lac. Des briques sont superposées pour permettre le déplacement in situ. «On peut dire que c’est un problème qui se passe un peu partout au Sénégal, mais nous, avec notre travail, on est vraiment impactés», a dit Khady Diaw, directrice d’un des réceptifs touchés. «Depuis 2008 que je suis là, c’est la première fois que je vois ce phénomène», a-t-elle poursuivi, se félicitant de la venue de la délégation du ministère du Tourisme. «Pour le moment, on ne peut pas parler de chiffre d’affaires, parce que ça fait trois ou quatre jours qu’on est dans l’eau, peut-être que dans six mois, on pourra voir les impacts sur le chiffre d’affaires», a-t-elle ainsi conclu.
Revenant sur l’objet de sa visite, le Secrétaire général d’insister : «Un phénomène naturel fait appel à des solutions structurelles beaucoup plus complexes et là, on pourra, avec tous les acteurs étatiques comme non étatiques, déterminer quel accompagnement apporter pour soulager ce site qu’est le Lac Rose, qui est une attraction touristique, en plus d’être un site classé patrimoine de l’Unesco».
Il a par ailleurs fait savoir que des solutions conjoncturelles vont être trouvées. «Le ministère saura se mettre à table avec les différentes parties impliquées pour voir le mode de soutien le plus approprié pour les accompagner. Tout ce qu’on peut dire aujourd’hui, c’est que le ministère restera aux côtés des acteurs pour les accompagner et voir avec eux, les meilleurs moyens pour trouver une solution», a-t-il estimé. Dans le souci de soulager certaines zones de la banlieue et de Sangalkam, les voies d’eau avaient été reprofilées pour permettre l’acheminement des eaux de pluie vers le lac.