Mettre fin au VIH/Sida en Afrique et dans le monde d’ici 2030, un objectif qui sera au cœur des débats entre les chefs d’état et de gouvernement, les jeunes, les représentants de la société civile, les personnes vivant avec le VIH et le Directeur Exécutif de l’Onusida du 08 au 10 juin 2016 au siège des Nations Unies à New York.
« Au cours de cette rencontre, les chefs d’état et de gouvernement réaffirmeront leur volonté et intensifieront leurs efforts pour mettre fin à l'épidémie du sida d’ici à 2030, un héritage qu’ils souhaitent laisser aux générations actuelles et futures », informe un communiqué.
Cette rencontre survient au moment où un nouveau rapport mondial produit par l’ONUSIDA, montre que « le nombre de personnes ayant accès aux médicaments antirétroviraux a doublé depuis 2010 », ajoute le document qui renseigne qu’on estime, en effet, à 17 millions, le nombre de personnes ayant accès à ces médicaments vitaux en 2015, soit 2 millions de plus sur une période de douze mois.
« L’Afrique où l’on dénombre près de 68% des nouvelles infections à VIH survenues dans le monde en 2015, reste la grande inconnue de cette équation. Avec près de 25.6 millions de personnes vivant avec le VIH, dont environ 41% ont accès au traitement, et près de 1.32 millions de femmes ne bénéficient pas des services de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant, le continent reste le plus affecté par l’épidémie de VIH/sida ».
« La crise économique actuelle, les épidémies d’Ebola, de Zika, le terrorisme, la faiblesse du système sanitaire et l’absence de couverture sanitaire universelle sont autant de contraintes que les états membres des Nations Unies devront prendre en compte lors de leurs discussions, s’ils veulent mettre fin au Sida en 2030 ».
« Cette réunion, convoquée tous les cinq ans par le président de l'Assemblée générale des Nations unies, en consultation avec les représentants des Etats membres et l'ONUSIDA, est l’occasion pour tous les acteurs clés de la lutte contre le VIH/sida, de se fixer des objectifs ambitieux à court et à moyen terme”. “Cette année elle permettra notamment de réaffirmer la réponse au Sida comme un modèle précurseur pour l’atteinte des Objectifs de développement durable”, fait svoir le document.
« Au cours de cette rencontre, les chefs d’état et de gouvernement réaffirmeront leur volonté et intensifieront leurs efforts pour mettre fin à l'épidémie du sida d’ici à 2030, un héritage qu’ils souhaitent laisser aux générations actuelles et futures », informe un communiqué.
Cette rencontre survient au moment où un nouveau rapport mondial produit par l’ONUSIDA, montre que « le nombre de personnes ayant accès aux médicaments antirétroviraux a doublé depuis 2010 », ajoute le document qui renseigne qu’on estime, en effet, à 17 millions, le nombre de personnes ayant accès à ces médicaments vitaux en 2015, soit 2 millions de plus sur une période de douze mois.
« L’Afrique où l’on dénombre près de 68% des nouvelles infections à VIH survenues dans le monde en 2015, reste la grande inconnue de cette équation. Avec près de 25.6 millions de personnes vivant avec le VIH, dont environ 41% ont accès au traitement, et près de 1.32 millions de femmes ne bénéficient pas des services de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant, le continent reste le plus affecté par l’épidémie de VIH/sida ».
« La crise économique actuelle, les épidémies d’Ebola, de Zika, le terrorisme, la faiblesse du système sanitaire et l’absence de couverture sanitaire universelle sont autant de contraintes que les états membres des Nations Unies devront prendre en compte lors de leurs discussions, s’ils veulent mettre fin au Sida en 2030 ».
« Cette réunion, convoquée tous les cinq ans par le président de l'Assemblée générale des Nations unies, en consultation avec les représentants des Etats membres et l'ONUSIDA, est l’occasion pour tous les acteurs clés de la lutte contre le VIH/sida, de se fixer des objectifs ambitieux à court et à moyen terme”. “Cette année elle permettra notamment de réaffirmer la réponse au Sida comme un modèle précurseur pour l’atteinte des Objectifs de développement durable”, fait svoir le document.