"Manifestement, après avoir perdu la bataille et la guerre, mes collègue sont en train de perdre leur honneur. Manifestement, ils ignorent le règlement intérieur qui dispose : "Les rectifications de vote ne peuvent avoir effet de changer le sens du vote proclamé. Elles peuvent, cependant, être mentionnées dans le procès-verbal, à la demande des intéressés". Et cela, il fallait le faire juste après le vote", a indiqué Moustapha Diakhaté joint par Le Pop. Le président du groupe parlementaire la majorité d'enfoncer le clou : "Donc, ils sont forclos pour faire mentionner leurs récriminations dans le procès-verbal et le président de l'Assemblée nationale n'est pas compétent pour annuler le vote de la plénière. Moi je pense qu'ils le savaient mais, malheureusement, vous savez que quand on est animé de mauvaise foi et qu'on veut faire de l'affichage politicien, évidemment, on ne recule devant rien".
Quid des menaces de Me El Hadji Diouf qui annonce une saisine de la justice pour dénoncer le faux sur le décompte ? Moustapha Diakhaté rétorque dans les colonnes du journal : "Me Diouf est libre de porter plainte contre qui il veut. Mais, ce que je dis, c'est que la contestation en matière de vote à l'Assemblée nationale doit avoir lieu à l'Assemblée nationale, dans l'Hémicycle, et juste après le vote. Aujourd'hui, ils sont forclos, le débat est clos et c'est un débat qui est clos par le règlement intérieur de l'Assemblée nationale, notamment en son article 87".
Quid des menaces de Me El Hadji Diouf qui annonce une saisine de la justice pour dénoncer le faux sur le décompte ? Moustapha Diakhaté rétorque dans les colonnes du journal : "Me Diouf est libre de porter plainte contre qui il veut. Mais, ce que je dis, c'est que la contestation en matière de vote à l'Assemblée nationale doit avoir lieu à l'Assemblée nationale, dans l'Hémicycle, et juste après le vote. Aujourd'hui, ils sont forclos, le débat est clos et c'est un débat qui est clos par le règlement intérieur de l'Assemblée nationale, notamment en son article 87".