Le président de la république a réservé, dans son discours de fin d’année, une place importante aux réalisations au plan économique. Interpellé par nos confrères du quotidien Vox Populi sur le fonds du discours, l’économiste Mounirou Ndiaye a tenté, en s’appuyant sur trois points, de donner des éléments d’appréciation sur le bilan économique de Macky Sall en 2016.
Il s’agit du taux de croissance du produit intérieur brut (PIB), des facteurs de productions avec l’électricité et les infrastructures avec le Train express régional (TER).
Ce qu’il faut dire, c’est que le Sénégal est parti d’un taux de croissance moyen de 5,2% entre 1994,1995 et 2003 et nous somme passés à un taux de croissance moyenne de 3% entre 2003 et 2012. Parce que Abdoulaye Ade avait créé la stratégie de croissance accélérée en 2003. Malheureusement la croissance était de 5% en moyenne entre 1994 et 2003 et après qu’on a adopté la stratégie de croissance on a même décéléré parce que le taux de croissance se situait entre 3% entre 2003 et 2012 », a d’abord rappelé Mounirou Ndiaye.
Concernant l’électricité, l’économiste précise que « c’est parce qu’il y a qu’a même une réduction du cout de l’électricité avec une mixte énergétique qui allie les sources éoliennes, des sources hydroélectriques, des sources thermiques des sources solaires ».
Il a ajouté que « le Sénégal est dans une stratégie énergétique qui va dans le futur, permettre une baisse du cout de l’électricité. Il y a également l’effet plan « Takkal » et le Sénégal a bien fait de continuer ».
De son avis toujours, « le Sénégal s’endette pour faire des infrastructures, des TER. Et ces infrastructures sont concentrées sur l’agglomération de de Dakar. C’est bien de faire des contrats, mais il faut faire un travail de priorisation et il faut éviter que le PSE repose sur un endettement ».
source Vox Populi
Il s’agit du taux de croissance du produit intérieur brut (PIB), des facteurs de productions avec l’électricité et les infrastructures avec le Train express régional (TER).
Ce qu’il faut dire, c’est que le Sénégal est parti d’un taux de croissance moyen de 5,2% entre 1994,1995 et 2003 et nous somme passés à un taux de croissance moyenne de 3% entre 2003 et 2012. Parce que Abdoulaye Ade avait créé la stratégie de croissance accélérée en 2003. Malheureusement la croissance était de 5% en moyenne entre 1994 et 2003 et après qu’on a adopté la stratégie de croissance on a même décéléré parce que le taux de croissance se situait entre 3% entre 2003 et 2012 », a d’abord rappelé Mounirou Ndiaye.
Concernant l’électricité, l’économiste précise que « c’est parce qu’il y a qu’a même une réduction du cout de l’électricité avec une mixte énergétique qui allie les sources éoliennes, des sources hydroélectriques, des sources thermiques des sources solaires ».
Il a ajouté que « le Sénégal est dans une stratégie énergétique qui va dans le futur, permettre une baisse du cout de l’électricité. Il y a également l’effet plan « Takkal » et le Sénégal a bien fait de continuer ».
De son avis toujours, « le Sénégal s’endette pour faire des infrastructures, des TER. Et ces infrastructures sont concentrées sur l’agglomération de de Dakar. C’est bien de faire des contrats, mais il faut faire un travail de priorisation et il faut éviter que le PSE repose sur un endettement ».
source Vox Populi