Selon l’inspecteur du travail, Mouhamed Mactar Loum, il a été relevé de ses fonctions par le ministre du Travail, Mansour Sy. « C’est une monstruosité innommable. C’est la première fois qu’un ministre de la République offre la tété de l’un de ses inspecteurs à un employeur », affirme M. Loum.
Il renseigne dans les colonnes de La Tribune qu’après une enquête sur le terrain de plusieurs jours, les faits et situations reprochés aux délégués d’Ahs n’ont pas produit de preuves pour exécuter le bon vouloir du ministre, ainsi il a refusé de licencier ces délégués, ce qui lui a coûté son poste, avant d’être muté comme conseiller du ministre.
Pour Mouhamed Mactar Loum, son engagement à défendre les inspecteurs et les travailleurs l’a amené à être démis de ses fonctions. « Depuis cet événement, tout ce qui est avantages et prérogatives m’ont été en enlevé. Plus encore, mon entourage en subit les conséquences », se désole-t-il.
Au vu de tout ceci, M. Loum a préféré démissionner de l’Inspection du travail de Dakar. « Je n’ai jamais eu d’antécédents personnel avec le ministre ; je le respecte beaucoup mais toute personne, même nominé, a le droit et le devoir de faire son travail en toute liberté et être quitte avec sa conscience », a conclu l’inspecteur.
Il renseigne dans les colonnes de La Tribune qu’après une enquête sur le terrain de plusieurs jours, les faits et situations reprochés aux délégués d’Ahs n’ont pas produit de preuves pour exécuter le bon vouloir du ministre, ainsi il a refusé de licencier ces délégués, ce qui lui a coûté son poste, avant d’être muté comme conseiller du ministre.
Pour Mouhamed Mactar Loum, son engagement à défendre les inspecteurs et les travailleurs l’a amené à être démis de ses fonctions. « Depuis cet événement, tout ce qui est avantages et prérogatives m’ont été en enlevé. Plus encore, mon entourage en subit les conséquences », se désole-t-il.
Au vu de tout ceci, M. Loum a préféré démissionner de l’Inspection du travail de Dakar. « Je n’ai jamais eu d’antécédents personnel avec le ministre ; je le respecte beaucoup mais toute personne, même nominé, a le droit et le devoir de faire son travail en toute liberté et être quitte avec sa conscience », a conclu l’inspecteur.