A en croire Mouhamadou Lamine Massaly:"Au Sénégal, le ridicule ne tue vraiment pas sinon comment comprendre l'attitude des nouveaux tenants du pouvoir? Ceux-là qui appellent à des assises de la justice, aujourd'hui, ont été les premiers à faire entorse à la marche de notre justice.
Ousmane Sonko et Cie ont toujours tenu des propos rédhibitoires,voire irrévérencieux à l'égard de la loi et de ceux qui l'incarnent. Ils n'ont jamais voué du respect à nos braves magistrats. Ils sont mal placés pour nous parler d'assises de la justice par ce qu'ils ont honteusement participé à ternir l'image lisse de nos juridictions", lance Mouhamadou Lamine Massaly.
Ainsi, il corse son argumentaire, en précisant que les insultes et injures de Sonko et ses partisans à l'endroit de la Police, de la Gendarmerie et de nos magistrats sont encore fraîches dans nos mémoires. Cela ne date pas de l'époque des dinosaures. « Qu'ils arrêtent donc leurs enfantillages et farce de mauvais goût. Le comble de l'ironie, c'est que sur plus de 300 partis politiques au Sénégal, ils ont décidé de convoquer une dizaine pour mener concertations allant dans ce sens. Ça, c'est tout sauf sérieux", se désole le leader de l'UNR.
Ousmane Sonko et Cie ont toujours tenu des propos rédhibitoires,voire irrévérencieux à l'égard de la loi et de ceux qui l'incarnent. Ils n'ont jamais voué du respect à nos braves magistrats. Ils sont mal placés pour nous parler d'assises de la justice par ce qu'ils ont honteusement participé à ternir l'image lisse de nos juridictions", lance Mouhamadou Lamine Massaly.
Ainsi, il corse son argumentaire, en précisant que les insultes et injures de Sonko et ses partisans à l'endroit de la Police, de la Gendarmerie et de nos magistrats sont encore fraîches dans nos mémoires. Cela ne date pas de l'époque des dinosaures. « Qu'ils arrêtent donc leurs enfantillages et farce de mauvais goût. Le comble de l'ironie, c'est que sur plus de 300 partis politiques au Sénégal, ils ont décidé de convoquer une dizaine pour mener concertations allant dans ce sens. Ça, c'est tout sauf sérieux", se désole le leader de l'UNR.