En 2020, le Sénégal a enregistré 791 décès maternels. Selon le quotidien EnQuête, Dakar, Kaffrine, Tambacounda, Kédougou, Sédhiou, Kolda et Ziguinchor sont les régions les plus touchées.
C’est ce qui ressort du rapport de la Direction de la santé de la mère et de l’enfant (DSME). Au total, 791 décès maternels ont été enregistrés parmi lesquels 100 ont été notifiés à Tambacounda et 99 dans la région de Dakar, révèle le rapport.
Quant à la mortalité infanto-juvénile, elle a connu une baisse très importante, passant de 72 pour 1 000 naissances, à 37 pour 1 000 entre 2012 et 2019. La mortalité néonatale a été de 21 pour 1 000 naissances vivantes en 2019. En 2020, il a été noté 3 721 décès néonataux.
Selon le patron de la DSME, Docteur Amadou Doucouré, l’espoir est permis, avec l’ouverture des établissements publics de santé de Kédougou, Touba, Sédhiou et Kaffrine, avec un plateau technique relevé. Ce qui a permis, aujourd’hui, dit-il, d’affecter des gynécologues à Kédougou et même des pédiatres.
Il a également évoqué la formation en cours de 27 médecins et, à partir de janvier 2022, de 44 techniciens en réanimation. Ce qui permettra, à son avis, de renforcer certains blocs opératoires et d’ouvrir ceux qui sont fermés.
Il s’agit notamment des localités de Saraya, Dahra Djolof, Goudiry, Koumpentoum, Makacoulibantang, Popeonguine, Kanel, Mékhé, Khombole, Foundiougne, Darou Mousty, Oussouye, Thionk Essyl et Ranérou.
C’est ce qui ressort du rapport de la Direction de la santé de la mère et de l’enfant (DSME). Au total, 791 décès maternels ont été enregistrés parmi lesquels 100 ont été notifiés à Tambacounda et 99 dans la région de Dakar, révèle le rapport.
Quant à la mortalité infanto-juvénile, elle a connu une baisse très importante, passant de 72 pour 1 000 naissances, à 37 pour 1 000 entre 2012 et 2019. La mortalité néonatale a été de 21 pour 1 000 naissances vivantes en 2019. En 2020, il a été noté 3 721 décès néonataux.
Selon le patron de la DSME, Docteur Amadou Doucouré, l’espoir est permis, avec l’ouverture des établissements publics de santé de Kédougou, Touba, Sédhiou et Kaffrine, avec un plateau technique relevé. Ce qui a permis, aujourd’hui, dit-il, d’affecter des gynécologues à Kédougou et même des pédiatres.
Il a également évoqué la formation en cours de 27 médecins et, à partir de janvier 2022, de 44 techniciens en réanimation. Ce qui permettra, à son avis, de renforcer certains blocs opératoires et d’ouvrir ceux qui sont fermés.
Il s’agit notamment des localités de Saraya, Dahra Djolof, Goudiry, Koumpentoum, Makacoulibantang, Popeonguine, Kanel, Mékhé, Khombole, Foundiougne, Darou Mousty, Oussouye, Thionk Essyl et Ranérou.