Des passants racontent que l’homme a été retrouvé avec des blessures au cou et à la poitrine, et qu’il aurait été également violé. Un drame qui a installé la panique générale dans ce quartier où les populations tourmentées par l’insécurité et l’encombrement anarchique sont sorties de leurs gonds pour crier leur ras-le-bol avant de réclamer un poste avancé de police. «Nous voulons un poste avancé de police ici à Tivaouane Diacksao, le renforcement de l’éclairage public. L’insécurité y est galopante, car à partir de 19 heures, personne n’ose sortir de peur d’être agressé. Certes, la police mène des patrouilles, mais aujourd’hui, ce poste de police est devenu une demande sociale pour toute la commune», a indiqué un acteur au développement du nom de Iba Diédhiou.
Et le président du conseil de quartier, Ousmane Diédhiou, de poursuivre : «Nous voulons également le désencombrement de Poste Thiaroye et de ses environs. Nous interpellons à cet effet le maire de Tivaouane Diacksao et le préfet de Pikine Moustapha Ndiaye pour qu’ils réagissent.» Retraçant le film du drame et de la psychose liée à l’insécurité, les habitants du quartier Tivaouane de la commune de Tivaouane Diacksao crient leur désarroi par la voix de Gorgui Touré. «Nous nous sommes réveillés dans la consternation pour constater avec ce décès suspect. Nous avons découvert un homme mort dans des conditions douteuses dans cet atelier de vulcanisation où l’on voyait des pneus et des habits par terre. Il y avait des traces de coups de couteau sur son cou et au niveau de la poitrine. Il a été égorgé. La victime doit être âgée d’une trentaine d’années. Cela démontre a priori l’insécurité qu’on a toujours dénoncée. Les garages mécaniques nous fatiguent. Notre quartier est sale. Nous avons alerté le préfet de Pikine, mais jusqu’à présent, nous n’avons pas vu sa réaction».
Sur les causes exactes du décès de cette personne non identifiée, c’est mystère et boule de gomme, même si d’aucuns défendent la thèse d’une agression mortelle, compte tenu des blessures trouvées autour du cou et de la poitrine de la victime. Les témoins renseignent que des limiers de Diamaguene suivis par leurs collègues de la police scientifique se sont présentés également pour faire des prélèvements avec un cordon de sécurité, appuyés par ceux du Groupement mobile d’intervention (Gmi). Par la suite, les limiers de Diamaguene en charge de l’enquête ont fait une réquisition pour l’évacuation du corps sans vie par les sapeurs-pompiers dans une structure sanitaire de la place pour les besoins de l’autopsie, en vue de déterminer également les circonstances exactes de ce décès suspect qui défraye la chronique dans cette localité de la banlieue.
L'As
Et le président du conseil de quartier, Ousmane Diédhiou, de poursuivre : «Nous voulons également le désencombrement de Poste Thiaroye et de ses environs. Nous interpellons à cet effet le maire de Tivaouane Diacksao et le préfet de Pikine Moustapha Ndiaye pour qu’ils réagissent.» Retraçant le film du drame et de la psychose liée à l’insécurité, les habitants du quartier Tivaouane de la commune de Tivaouane Diacksao crient leur désarroi par la voix de Gorgui Touré. «Nous nous sommes réveillés dans la consternation pour constater avec ce décès suspect. Nous avons découvert un homme mort dans des conditions douteuses dans cet atelier de vulcanisation où l’on voyait des pneus et des habits par terre. Il y avait des traces de coups de couteau sur son cou et au niveau de la poitrine. Il a été égorgé. La victime doit être âgée d’une trentaine d’années. Cela démontre a priori l’insécurité qu’on a toujours dénoncée. Les garages mécaniques nous fatiguent. Notre quartier est sale. Nous avons alerté le préfet de Pikine, mais jusqu’à présent, nous n’avons pas vu sa réaction».
Sur les causes exactes du décès de cette personne non identifiée, c’est mystère et boule de gomme, même si d’aucuns défendent la thèse d’une agression mortelle, compte tenu des blessures trouvées autour du cou et de la poitrine de la victime. Les témoins renseignent que des limiers de Diamaguene suivis par leurs collègues de la police scientifique se sont présentés également pour faire des prélèvements avec un cordon de sécurité, appuyés par ceux du Groupement mobile d’intervention (Gmi). Par la suite, les limiers de Diamaguene en charge de l’enquête ont fait une réquisition pour l’évacuation du corps sans vie par les sapeurs-pompiers dans une structure sanitaire de la place pour les besoins de l’autopsie, en vue de déterminer également les circonstances exactes de ce décès suspect qui défraye la chronique dans cette localité de la banlieue.
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