Triste destin au lendemain de la nuit du destin, hier mardi, en milieu de matinée, pour le jeune Moustapha Sarr, élève en classe de Cours moyen première année (CM1), à l’école 6 de Moricounda. Ce jour et comme tous les jours en ce mois de Ramadan, marqué par une forte chaleur à Sédhiou, ils étaient nombreux à s’offrir une baignade dans le fleuve qui jouxte le domicile du maire Abdoulaye Diop, au quartier Kabeum.
Le jeune Moustapha Sarr, âgé de douze (12) ans, n’y est plus ressorti en vie, ont subitement constaté ses compagnons, le corps inerte. Cet homme trouvé sur les lieux du drame explique :
«il faisait des plongées comme, le ferait le poisson, en allant vers ses camarades. Et tout d’un coup, il disparait. Pour certains, il a fait une chute dans un trou. Quelqu’un a plongé à sa recherche et la ressorti ; mais c’était bien trop tard. Hélas ! », fait-il observer.
Notre interlocuteur constate, pour le déplorer, que de tous jeunes enfants fréquentent le site, au mépris des conseils et souvent à l’insu de leurs parents. «Ces enfants viennent tout fréquemment se baigner ici et se prennent même avec le gardien qui les renvoie souvent.
Certains n’hésitent même pas à manquer du respect à ceux qui s’opposent à leur présence ici, fussent-ils leurs propres parents. Il y’en a qui sont vraiment têtu». Les éléments du Commissariat urbain de la Police de Sédhiou ont procédé au constat et ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de la noyade.
Quant aux Sapeurs-pompiers de la 43e Compagnie d’incendie et de secours, ils ont déposé le corps sans vie au Centre hospitalier régional Amadou Tidiane Bâ, pour autopsie. Ce sinistre vient comme pour rappeler aux parents leur sens premier de responsabilité au sujet des fréquentations de leurs enfants et surtout de tous jeunes mômes qui échappent à leur contrôle
Sud Quotidien
Le jeune Moustapha Sarr, âgé de douze (12) ans, n’y est plus ressorti en vie, ont subitement constaté ses compagnons, le corps inerte. Cet homme trouvé sur les lieux du drame explique :
«il faisait des plongées comme, le ferait le poisson, en allant vers ses camarades. Et tout d’un coup, il disparait. Pour certains, il a fait une chute dans un trou. Quelqu’un a plongé à sa recherche et la ressorti ; mais c’était bien trop tard. Hélas ! », fait-il observer.
Notre interlocuteur constate, pour le déplorer, que de tous jeunes enfants fréquentent le site, au mépris des conseils et souvent à l’insu de leurs parents. «Ces enfants viennent tout fréquemment se baigner ici et se prennent même avec le gardien qui les renvoie souvent.
Certains n’hésitent même pas à manquer du respect à ceux qui s’opposent à leur présence ici, fussent-ils leurs propres parents. Il y’en a qui sont vraiment têtu». Les éléments du Commissariat urbain de la Police de Sédhiou ont procédé au constat et ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de la noyade.
Quant aux Sapeurs-pompiers de la 43e Compagnie d’incendie et de secours, ils ont déposé le corps sans vie au Centre hospitalier régional Amadou Tidiane Bâ, pour autopsie. Ce sinistre vient comme pour rappeler aux parents leur sens premier de responsabilité au sujet des fréquentations de leurs enfants et surtout de tous jeunes mômes qui échappent à leur contrôle
Sud Quotidien