L’enquête se poursuit sur la mort du douanier Cheikhou Cissé. Ce, malgré les conclusions des enquêteurs de la Section de recherches qui attestent la thèse d’un suicide.
D’après le quotidien « L’As » dans son édition du mardi, le parquet a saisi un juge d'instruction pour poursuivre l’enquête et déterminer les véritables causes de ce drame.
Le journal souligne que des experts en balistique ont été mis à contribution dans le cadre de l’approfondissement de l’enquête.
Une nouvelle qui pourrait apaisée la famille du défunt qui rejette la thèse du suicide.
Chef de la brigade spécial de l’Aéroport International Blaise Diagne, Cheikhou Sakho a été retrouvé mort dans sa voiture, dans la forêt de Keur Massar dans la nuit du jeudi au vendredi 5 octobre dernier, avec une balle tirée dans la bouche.
L'autopsie indique qu’il est mort à la suite de coup et blessures par arme à feu "avec plaie traumatique pénétrante de la cavité buccale au niveau du palais postérieur, avec fracture de l'os du sphéroïde, contusions cérébrales et fracture, écrasement occipito-pénétrante, plaie occipitale".
En attendant la suite de l’enquête du juge d’instruction, « L’As » rapporte que le corps a été remis à la famille aux fins d’inhumation. Ainsi, la levée du corps est prévue ce matin à 10 heures à l’hôpital Aristide Le Dentec, suivie de l’enterrement à Sokone où le défunt est né un certain 04 octobre 1969.
D’après le quotidien « L’As » dans son édition du mardi, le parquet a saisi un juge d'instruction pour poursuivre l’enquête et déterminer les véritables causes de ce drame.
Le journal souligne que des experts en balistique ont été mis à contribution dans le cadre de l’approfondissement de l’enquête.
Une nouvelle qui pourrait apaisée la famille du défunt qui rejette la thèse du suicide.
Chef de la brigade spécial de l’Aéroport International Blaise Diagne, Cheikhou Sakho a été retrouvé mort dans sa voiture, dans la forêt de Keur Massar dans la nuit du jeudi au vendredi 5 octobre dernier, avec une balle tirée dans la bouche.
L'autopsie indique qu’il est mort à la suite de coup et blessures par arme à feu "avec plaie traumatique pénétrante de la cavité buccale au niveau du palais postérieur, avec fracture de l'os du sphéroïde, contusions cérébrales et fracture, écrasement occipito-pénétrante, plaie occipitale".
En attendant la suite de l’enquête du juge d’instruction, « L’As » rapporte que le corps a été remis à la famille aux fins d’inhumation. Ainsi, la levée du corps est prévue ce matin à 10 heures à l’hôpital Aristide Le Dentec, suivie de l’enterrement à Sokone où le défunt est né un certain 04 octobre 1969.