Selon les témoignages, ce dernier a été brûlé lors de sa garde-à-vue dans les locaux du commissariat de Thiaroye. «Nous déplorons et condamnons fermement la mort de ce jeune homme. Le Sénégal a ratifié l’ensemble des conventions internationales dont celle relative à la lutte contre la torture. Il est inadmissible au 21e siècle que des personnes décèdent en détention suite à la torture. Nous demande à la justice plus particulièrement, au Procureur de la République de s’auto-saisir afin que toute la lumière soit faite sur cette affaire », a réagi Me Sène, interrogé par la Rfm.
Arrêté avec plusieurs personnes pour vol présumé de mouton de race « Ladoum », Saliou Sarr a rendu l’âme, le 15 juillet dernier, quelques heures après son évacuation à l’hôpital. Sa famille accuse la police de l’avoir torturé avant le brûler à l’aide d’un matraque électrique. « C’est du diluant qu’ils ont versé sur mon frère avant d’utiliser leur matraque électrifiée. C’est le contact de l’électricité avec le diluant qui a mis le feu aux habits de mon frère. Ils étaient tous surpris par le feu et ont fui et c’est alors que l’un d’eux est revenu pour rouler mon frère sur le tapis herbacé pour tenter d’éteindre le feu. Hélas, le mal était déjà fait », a confié la sœur du défunt à l’Observateur. La police s’est refusée à tout commentaire sur cette affaire.
Leral.net
Arrêté avec plusieurs personnes pour vol présumé de mouton de race « Ladoum », Saliou Sarr a rendu l’âme, le 15 juillet dernier, quelques heures après son évacuation à l’hôpital. Sa famille accuse la police de l’avoir torturé avant le brûler à l’aide d’un matraque électrique. « C’est du diluant qu’ils ont versé sur mon frère avant d’utiliser leur matraque électrifiée. C’est le contact de l’électricité avec le diluant qui a mis le feu aux habits de mon frère. Ils étaient tous surpris par le feu et ont fui et c’est alors que l’un d’eux est revenu pour rouler mon frère sur le tapis herbacé pour tenter d’éteindre le feu. Hélas, le mal était déjà fait », a confié la sœur du défunt à l’Observateur. La police s’est refusée à tout commentaire sur cette affaire.
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