Maçon de profession, Mbaye Ndour est capable de franchir les barrières de la morale pour assouvir ses pulsions sexuelles. En effet, il n’a pas hésité à faire du chantage à D. Diallo, pour la contraindre à coucher avec lui, sous peine de publier des images obscènes d’elle qu’il avait montées. Attrait à la barre hier, il a reconnu les faits pour lesquels il est poursuivi, avant de soutenir que son intention était juste de coucher avec la plaignante. Un jour, Mbaye Ndour a appelé par téléphone D. Diallo, qui lui a demandé comment il a fait pour obtenir son numéro.
D'après le récit de "L'As", le mis en cause répond que la demoiselle lui avait remis le numéro il y a deux ans, mais entre-temps, il avait voyagé au Canada. Puisqu’il était en vacances au Sénégal, il en a profité pour la contacter. Émerveillée par le fait que son interlocuteur est un expatrié, D. Diallo a donc mordu à l’hameçon. C’est ainsi qu’ils s’appellent régulièrement. Le sieur Ndour en profite pour demander à son interlocutrice, de lui envoyer ses photos. Une requête à laquelle accède sans hésitation la demoiselle. Par la suite, ils ont eu un différend à cause d’un message vocal que Mbaye Ndour avait envoyé à la demoiselle, dans lequel il l’a insultée en sérère. D. Diallo qui comprend cette langue, a donc riposté et les deux ont échangé des propos aigres-doux.
Le lendemain, Mlle Diallo s’en est ouverte à son ami gendarme qui lui a conseillé de demander au sieur Ndour, ses intentions. Ce dernier soutient qu’il a envie d’avoir des rapports sexuels avec elle. Pour atteindre son but, il avait fait un montage de photos pornographiques, en utilisant les photos qu’elle lui avait envoyées, et a menacé de les publier si elle ne cédait pas.
Cette dernière le supplia de ne pas faire cela et promit de lui verser 200.000 FCfa. Mbaye Ndour dit niet. Mis au courant des agissements du maçon, les éléments de la gendarmerie ont demandé à D. Diallo d’accepter le plan de Mbaye Ndour, qui lui avait donné rendez-vous à la plage de Popenguine. D. Diallo s’y rend mais avant que les pandores en civil ne mettent la main sur lui, Mbaye Ndour parvient à s’échapper. N’empêche, il a été arrêté par les hommes en bleu. Lors de l’enquête préliminaire comme à la barre, il a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Ainsi, il a été condamné à 2 ans, dont 6 mois de prison ferme.
D'après le récit de "L'As", le mis en cause répond que la demoiselle lui avait remis le numéro il y a deux ans, mais entre-temps, il avait voyagé au Canada. Puisqu’il était en vacances au Sénégal, il en a profité pour la contacter. Émerveillée par le fait que son interlocuteur est un expatrié, D. Diallo a donc mordu à l’hameçon. C’est ainsi qu’ils s’appellent régulièrement. Le sieur Ndour en profite pour demander à son interlocutrice, de lui envoyer ses photos. Une requête à laquelle accède sans hésitation la demoiselle. Par la suite, ils ont eu un différend à cause d’un message vocal que Mbaye Ndour avait envoyé à la demoiselle, dans lequel il l’a insultée en sérère. D. Diallo qui comprend cette langue, a donc riposté et les deux ont échangé des propos aigres-doux.
Le lendemain, Mlle Diallo s’en est ouverte à son ami gendarme qui lui a conseillé de demander au sieur Ndour, ses intentions. Ce dernier soutient qu’il a envie d’avoir des rapports sexuels avec elle. Pour atteindre son but, il avait fait un montage de photos pornographiques, en utilisant les photos qu’elle lui avait envoyées, et a menacé de les publier si elle ne cédait pas.
Cette dernière le supplia de ne pas faire cela et promit de lui verser 200.000 FCfa. Mbaye Ndour dit niet. Mis au courant des agissements du maçon, les éléments de la gendarmerie ont demandé à D. Diallo d’accepter le plan de Mbaye Ndour, qui lui avait donné rendez-vous à la plage de Popenguine. D. Diallo s’y rend mais avant que les pandores en civil ne mettent la main sur lui, Mbaye Ndour parvient à s’échapper. N’empêche, il a été arrêté par les hommes en bleu. Lors de l’enquête préliminaire comme à la barre, il a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Ainsi, il a été condamné à 2 ans, dont 6 mois de prison ferme.