«Près de 9,71 millions d'opérations en moyenne ont été traitées quotidiennement par l'ensemble des plateformes de paiement mobile de l'Union, contre 7,31 millions en 2019. La valeur moyenne journalière des transactions est estimée à environ 115,15 milliards de FCFA en 2020 contre 79,83 milliards de FCFA un an plus tôt, en hausse de 44,25% », détaille le rapport.
Selon le document, l'offre de services financiers via la téléphonie mobile est restée circonscrite aux services de première génération, avec une prépondérance des opérations de rechargement de porte-monnaie électronique, qui représentent, en volume et en valeur respectivement, 21,90% et 36,01% du total des transactions, suivies des retraits d'espèces (18,10% et 29,16%) et des transferts de personne à personne (10,46% et 17,63%). S’ensuivent, les transferts de personne à entreprise (1,54% et 7,03%), les transferts transfrontaliers (0,91% et 4,13%), les paiements de factures (3,67% et 2,35%) et les achats de crédit téléphonique qui, en termes de volume, constituent les transactions les plus courantes (41,62% et 1,69%).
L'utilisation de ces différents services représentent, globalement, 98,20% et 98% du volume et de la valeur des transactions effectuées en 2020 dans l’Uemoa. Au niveau national, le Burkina et la Côte d'Ivoire détiennent respectivement 29,62% et 19,65% des parts de marché, suivis du Bénin (17,41%), du Sénégal (16,36%) et du Mali (11,84%). Ces cinq pays totalisent 94,87% et 95,63% respectivement du volume et de la valeur des transactions effectuées dans l'Uemoa en 2020. Au Niger, une baisse de 17,07% du volume des transactions a été enregistrée, du fait essentiellement d’un faible taux d’activité dans le pays. Le Togo, quant à lui, enregistre un accroissement de 55,42% du volume des transactions et la Guinée-Bissau, une hausse de 237,17% du volume des transactions au titre de l’année 2020.
Adou FAYE
Selon le document, l'offre de services financiers via la téléphonie mobile est restée circonscrite aux services de première génération, avec une prépondérance des opérations de rechargement de porte-monnaie électronique, qui représentent, en volume et en valeur respectivement, 21,90% et 36,01% du total des transactions, suivies des retraits d'espèces (18,10% et 29,16%) et des transferts de personne à personne (10,46% et 17,63%). S’ensuivent, les transferts de personne à entreprise (1,54% et 7,03%), les transferts transfrontaliers (0,91% et 4,13%), les paiements de factures (3,67% et 2,35%) et les achats de crédit téléphonique qui, en termes de volume, constituent les transactions les plus courantes (41,62% et 1,69%).
L'utilisation de ces différents services représentent, globalement, 98,20% et 98% du volume et de la valeur des transactions effectuées en 2020 dans l’Uemoa. Au niveau national, le Burkina et la Côte d'Ivoire détiennent respectivement 29,62% et 19,65% des parts de marché, suivis du Bénin (17,41%), du Sénégal (16,36%) et du Mali (11,84%). Ces cinq pays totalisent 94,87% et 95,63% respectivement du volume et de la valeur des transactions effectuées dans l'Uemoa en 2020. Au Niger, une baisse de 17,07% du volume des transactions a été enregistrée, du fait essentiellement d’un faible taux d’activité dans le pays. Le Togo, quant à lui, enregistre un accroissement de 55,42% du volume des transactions et la Guinée-Bissau, une hausse de 237,17% du volume des transactions au titre de l’année 2020.
Adou FAYE
Source : https://www.lejecos.com/Monnaie-electronique-dans-...