L’ancienne secrétaire d’État aux Sports espère que le gouvernement fera preuve de “courtoisie républicaine” en l’invitant à la Coupe du monde de football.
Quand Rama Yade veut quelque chose, elle n’y va pas par quatre chemins. Sur i>Télé, l’ancienne secrétaire d’État chargée des Sports a ouvertement laissé entendre qu’elle se verrait bien au Brésil à partir du 12 juin, date du début de la Coupe du monde, comme le rapporte Le Figaro. Une présence toutefois soumise à une condition de taille : “Si je suis invitée, mais je ne le suis pas encore”, a-t-elle précisé.
Et au cas où le message ne serait pas passé, Rama Yade en a remis une couche. “Un gouvernement doit, quel qu’il soit, de gauche, de droite, pouvoir inviter, pour les matches officiels importants, les personnalités qui ont à voir avec le sport. Donc j’espère qu’ils auront cette courtoisie républicaine à mon égard”, a insisté l’ex-secrétaire d’État aux Sports.
*Appel à la “décence en temps de crise”
Pas sûr cependant que le gouvernement prenne un tel risque, et pour cause. Lors du Mondial 2010 en Afrique du Sud, Rama Yade ne s’était pas vraiment illustrée par son sens de la diplomatie. La secrétaire d’État aux Sports avait vertement critiqué les conditions de logement, jugées trop luxueuses de l’équipe de France.
“Je n’aurais pas choisi cet hôtel [le Pezula Resort Hotel à Knysna, NDLR]. L’Espagne, par exemple, a choisi un Campus universitaire”, avait-t-elle déclaré sur Radio J. “J’attends que l’équipe de France nous éblouisse par ses résultats plutôt que par le clinquant des hôtels. Moi, je les ai appelés à la décence en temps de crise”, a-t-elle ajouté.
“Si la France va très loin, le choix d’un site proposant les meilleures conditions d’entraînement peut paraître judicieux. (…) Par contre, si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos attentes, la (…)
Actusen
Quand Rama Yade veut quelque chose, elle n’y va pas par quatre chemins. Sur i>Télé, l’ancienne secrétaire d’État chargée des Sports a ouvertement laissé entendre qu’elle se verrait bien au Brésil à partir du 12 juin, date du début de la Coupe du monde, comme le rapporte Le Figaro. Une présence toutefois soumise à une condition de taille : “Si je suis invitée, mais je ne le suis pas encore”, a-t-elle précisé.
Et au cas où le message ne serait pas passé, Rama Yade en a remis une couche. “Un gouvernement doit, quel qu’il soit, de gauche, de droite, pouvoir inviter, pour les matches officiels importants, les personnalités qui ont à voir avec le sport. Donc j’espère qu’ils auront cette courtoisie républicaine à mon égard”, a insisté l’ex-secrétaire d’État aux Sports.
*Appel à la “décence en temps de crise”
Pas sûr cependant que le gouvernement prenne un tel risque, et pour cause. Lors du Mondial 2010 en Afrique du Sud, Rama Yade ne s’était pas vraiment illustrée par son sens de la diplomatie. La secrétaire d’État aux Sports avait vertement critiqué les conditions de logement, jugées trop luxueuses de l’équipe de France.
“Je n’aurais pas choisi cet hôtel [le Pezula Resort Hotel à Knysna, NDLR]. L’Espagne, par exemple, a choisi un Campus universitaire”, avait-t-elle déclaré sur Radio J. “J’attends que l’équipe de France nous éblouisse par ses résultats plutôt que par le clinquant des hôtels. Moi, je les ai appelés à la décence en temps de crise”, a-t-elle ajouté.
“Si la France va très loin, le choix d’un site proposant les meilleures conditions d’entraînement peut paraître judicieux. (…) Par contre, si les résultats ne sont pas à la hauteur de nos attentes, la (…)
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