« Ah oui tout à fait. Nous sommes très déçus du Conseil constitutionnel. Moi, j’avais beaucoup de respect pour le Conseil constitutionnel, parce que il y en a certains que je connais etc. Je me suis dit que c’est la dernière barrière pour le droit, pour la démocratie. On n’aurait même pas du nous éliminé parce que les bases sur lesquelles, on nous a éliminé, ne sont pas exactes », a déclaré Momar Ndaw de l’Ascosen, à l’émission Grand Jury, de ce dimanche 12 juin 2022.
Évoquant ainsi la problématique de la crédibilité du Conseil constitutionnel, le président de l’Ascosen explique « Parce qu’en fait, les élections en générale, c’est une période de compétitions tellement centrales pour les partis et tous ceux qui aspirent, parce qu’ils se disent que, c’est une condition de vie ou de mort. Maintenant, si l’arbitre n’est plus crédible, il y a problème. Or l’arbitre a pris des décisions qui ne correspondaient pas à ce que les gens pensent qu’il (le Conseil constitutionnel) va dire le droit ».
Et M. Ndao de constater pour le regretter que « Si aujourd’hui, il y a un arbitre qui s’appelle le Conseil constitutionnel et que cet arbitre a posé des actes, qui étaient défiés par tout le monde, donc cela veut dire qu’aujourd’hui personne n’est d’accord avec les décisions prises par le conseil constitutionnel. Et c’est ça qui est grave. Si l’arbitre est remis en cause, la scène ne se transforme plus en compétition normale, mais en compétition bizarre ».
Évoquant ainsi la problématique de la crédibilité du Conseil constitutionnel, le président de l’Ascosen explique « Parce qu’en fait, les élections en générale, c’est une période de compétitions tellement centrales pour les partis et tous ceux qui aspirent, parce qu’ils se disent que, c’est une condition de vie ou de mort. Maintenant, si l’arbitre n’est plus crédible, il y a problème. Or l’arbitre a pris des décisions qui ne correspondaient pas à ce que les gens pensent qu’il (le Conseil constitutionnel) va dire le droit ».
Et M. Ndao de constater pour le regretter que « Si aujourd’hui, il y a un arbitre qui s’appelle le Conseil constitutionnel et que cet arbitre a posé des actes, qui étaient défiés par tout le monde, donc cela veut dire qu’aujourd’hui personne n’est d’accord avec les décisions prises par le conseil constitutionnel. Et c’est ça qui est grave. Si l’arbitre est remis en cause, la scène ne se transforme plus en compétition normale, mais en compétition bizarre ».