La mer tue autant que les routes. Chaque année, entre 250 et 275 personnes meurent noyées alors qu’entre 400 et 500 individus perdent la vie dans des accidents de la circulation. Dans la période de janvier au 12 juillet dernier, il a été enregistré 89 décès sur 110 cas de noyade signalés. C’est une hécatombe. Colonel Papa Michel Diatta, du Groupement des sapeurs-pompiers, rappelle que les plages interdites aux baignades enregistrent plus de victimes. Même si le pays a connu une chute du nombre de décès en 2021, la raison est liée à la survenue de la pandémie du Covid-19, qui avait entraîné l’interdiction des plages dans le cadre du train de mesures prises pour limiter la propagation du virus. Mais, cette parenthèse est refermée, car les plages commencent à être prises d’assaut. Et on est loin du pic de fréquentation, parce que l’année scolaire n’est pas encore totalement terminée, rapporte LeQuotidien.
Et déjà le 27 juin dernier, rappelle Cl Diatta, deux interventions ont été effectuées par les sapeurs-pompiers. Au Lac Rose, 6 élèves ont perdu la vie dont 3 corps repêchés sur place, 2 corps ont été retrouvés à la plage de Malibu et 1 à la plage de l’Apix. A la même date, il y avait aussi le chavirement d’une pirogue à Kafountine, qui a occasionné 19 morts. A en croire Colonel Papa Michel Diatta, les jeunes sont évidemment les plus touchés par ce drame.
Aujourd’hui, le pays veut arriver à zéro cas de noyade. C’est dans ce sens qu’un groupe de travail a été mis en place par la Direction de la protection civile, logée au ministère de l’Intérieur et de la sécurité publique. Ce travail «inclusif» a permis de parvenir à la signature d’un Protocole d’accord et de partenariat.
Lequel a fait hier l’objet d’une revue, notamment les questions qui concernent les baignades et le classement des plages. Par exemple, les plages interdites vont être balisées afin de pouvoir assurer de la présence effective des sapeurs-pompiers et l’accompagnement des différentes collectivités territoriales concernées pour minimiser ou éradiquer tout risque de cas de noyade dans les plages. «Nous aurons trois catégories de plage. La première concerne les plages où la baignade est autorisée. La deuxième concerne celles où la baignade est interdite et la troisième où il y aura des zones aménagées, balisées, surveillées, pour permettre une plus grande efficacité dans notre action», précise Antoine Diome, ministre de l’Intérieur. Il ajoute : «L’objectif recherché, poursuit-il, est d’arriver à avoir un plan définitivement approuvé avant la fin du mois de juillet.» Pour sa mise en œuvre, Antoine Diome pense qu’il faudrait «y apporter un soin particulier en lien avec les collectivités territoriales sous l’égide des deux organisations faîtières que sont l’Association des départements du Sénégal et l’Association des maires du Sénégal».
Et déjà le 27 juin dernier, rappelle Cl Diatta, deux interventions ont été effectuées par les sapeurs-pompiers. Au Lac Rose, 6 élèves ont perdu la vie dont 3 corps repêchés sur place, 2 corps ont été retrouvés à la plage de Malibu et 1 à la plage de l’Apix. A la même date, il y avait aussi le chavirement d’une pirogue à Kafountine, qui a occasionné 19 morts. A en croire Colonel Papa Michel Diatta, les jeunes sont évidemment les plus touchés par ce drame.
Aujourd’hui, le pays veut arriver à zéro cas de noyade. C’est dans ce sens qu’un groupe de travail a été mis en place par la Direction de la protection civile, logée au ministère de l’Intérieur et de la sécurité publique. Ce travail «inclusif» a permis de parvenir à la signature d’un Protocole d’accord et de partenariat.
Lequel a fait hier l’objet d’une revue, notamment les questions qui concernent les baignades et le classement des plages. Par exemple, les plages interdites vont être balisées afin de pouvoir assurer de la présence effective des sapeurs-pompiers et l’accompagnement des différentes collectivités territoriales concernées pour minimiser ou éradiquer tout risque de cas de noyade dans les plages. «Nous aurons trois catégories de plage. La première concerne les plages où la baignade est autorisée. La deuxième concerne celles où la baignade est interdite et la troisième où il y aura des zones aménagées, balisées, surveillées, pour permettre une plus grande efficacité dans notre action», précise Antoine Diome, ministre de l’Intérieur. Il ajoute : «L’objectif recherché, poursuit-il, est d’arriver à avoir un plan définitivement approuvé avant la fin du mois de juillet.» Pour sa mise en œuvre, Antoine Diome pense qu’il faudrait «y apporter un soin particulier en lien avec les collectivités territoriales sous l’égide des deux organisations faîtières que sont l’Association des départements du Sénégal et l’Association des maires du Sénégal».