« Je reconnais son combat. Quand il était mon adversaire, je reconnais qu’il était un adversaire qui avait du mordant et qui avait du solide. Mais dans le cadre de notre opposition et c’est ce qui a permis qu’on puisse après travailler, c’est que ça n’a jamais porté sur des questions personnelles. Vous ne m’entendrez jamais face à un adversaire avoir une position personnelle. Même dans l’affaire Adji Sarr, je lui ai toujours dit il faut aller répondre à la Justice. Je n’en ai pas dit plus que ça », a -t-elle déclaré.
Pour autant, alors qu’Ousmane Sonko a été radié de la liste électorale, Mimi Touré pense qu’il faut mener le combat pour sa réintégration et pas se partager ses électeurs. « Je suis candidate et je ne dirais jamais il n’a qu’à rester là où il est et on va se partager ses électeurs. On doit aller vers des élections inclusives et que les sénégalais choisiront leur président. J’ai reconnu qu’il était un adversaire coriace, de taille et je me suis retrouvée dans l’opposition après dans une période très difficile parce que tout le monde pensait que le président Macky Sall allait faire un 3e mandat. Il a fallu la mobilisation des démocrates aussi bien au niveau national qu’international pour qu’il recule. C’est un combat qu’on a mené ensemble et ce n’était pas gagné d’avance », a ajouté la candidate à la présidentielle de 2024.
Pour autant, alors qu’Ousmane Sonko a été radié de la liste électorale, Mimi Touré pense qu’il faut mener le combat pour sa réintégration et pas se partager ses électeurs. « Je suis candidate et je ne dirais jamais il n’a qu’à rester là où il est et on va se partager ses électeurs. On doit aller vers des élections inclusives et que les sénégalais choisiront leur président. J’ai reconnu qu’il était un adversaire coriace, de taille et je me suis retrouvée dans l’opposition après dans une période très difficile parce que tout le monde pensait que le président Macky Sall allait faire un 3e mandat. Il a fallu la mobilisation des démocrates aussi bien au niveau national qu’international pour qu’il recule. C’est un combat qu’on a mené ensemble et ce n’était pas gagné d’avance », a ajouté la candidate à la présidentielle de 2024.