‘’Au consulat du Sénégal à Dakhla, nous avons dénombré officiellement une trentaine de décès de migrants sénégalais en 2023’’, a notamment indiqué Babou Sène, le Consul général du Sénégal dans cette localité, lors d’un entretien téléphonique avec l’"APS".
Ces données concernent les candidats à l’émigration dont les corps ont été retrouvés et acheminés dans les morgues de Dakhla, a-t-il précisé.
Le consul a fait savoir qu’à l’exception de cinq dépouilles inhumées à Dakhla, avec le consentement de leurs familles, toutes les autres ont été rapatriées au Sénégal, avec l’aide des autorités marocaines et des collectivités territoriales d’où étaient originaires les victimes.
‘’C’est l’occasion de remercier les maires des communes de Bargny, Nguer Malal, Mbao, Médina et de Rufisque, dont l’appui a été déterminant dans le transfèrement des corps vers le Sénégal’’, a-t-il dit.
‘’Le gouvernement sénégalais ne doit pas accorder un très grand crédit aux bilans avancés par des ONG et organismes internationaux tels que l’OIM, au sujet du nombre total de décès enregistrés en haute mer’’, a déclaré M. Sène.
Il a soutenu que ces entités s’appuient le plus clair du temps, sur des témoignages émanant des communautés, sans prendre le recul nécessaire pour analyser ces données et se faire une idée de leur véracité.
Le consul a par ailleurs fait savoir qu’au plus fort de cette crise migratoire en 2023, quelque 365 migrants partis du Sénégal ont séjourné au moins une journée, dans le centre hospitalier régional de Dakhla.
Ces données concernent les candidats à l’émigration dont les corps ont été retrouvés et acheminés dans les morgues de Dakhla, a-t-il précisé.
Le consul a fait savoir qu’à l’exception de cinq dépouilles inhumées à Dakhla, avec le consentement de leurs familles, toutes les autres ont été rapatriées au Sénégal, avec l’aide des autorités marocaines et des collectivités territoriales d’où étaient originaires les victimes.
‘’C’est l’occasion de remercier les maires des communes de Bargny, Nguer Malal, Mbao, Médina et de Rufisque, dont l’appui a été déterminant dans le transfèrement des corps vers le Sénégal’’, a-t-il dit.
‘’Le gouvernement sénégalais ne doit pas accorder un très grand crédit aux bilans avancés par des ONG et organismes internationaux tels que l’OIM, au sujet du nombre total de décès enregistrés en haute mer’’, a déclaré M. Sène.
Il a soutenu que ces entités s’appuient le plus clair du temps, sur des témoignages émanant des communautés, sans prendre le recul nécessaire pour analyser ces données et se faire une idée de leur véracité.
Le consul a par ailleurs fait savoir qu’au plus fort de cette crise migratoire en 2023, quelque 365 migrants partis du Sénégal ont séjourné au moins une journée, dans le centre hospitalier régional de Dakhla.