Serigne Mamadou Mansour Diop, jugé mardi pour parricide, encourt une peine de réclusion criminelle à perpétuité. Il aurait froidement égorgé son père Serigne Mbaye Sy Diop, imam de Sicap Diamaguène, dans la banlieue dakaroise.
Les faits ont eu lieu dans la matinée du 24 novembre 2017. Ce jour-là, le prévenu qui serait un ivrogne, avait trouvé son père sur la natte, en train d’effectuer son « Zikr » (invocation). Il le sollicite pour acheter son petit-déjeuner. Face au refus de son pater qui lui a rétorqué qu’il n’utiliserait l’argent que pour acheter de l’alcool. S’en est suivie une rude dispute.
Furieux contre son père, il prend un couteau et le poignarde à la poitrine avant de l’égorger. Il a pris la fuite après son forfait.
Devant le magistrat instructeur mardi, le prévenu a nié les faits qui lui sont reprochés et qu’il avait reconnus devant les enquêteurs à l’enquête préliminaire. Il a cherché à se disculper, disant qu’il n’était pas sur les lieux au moment des faits.
Interrogé sur sa disparition, le mis en cause s’est expliqué, disant qu’il travaillait dans un jardin de maraîchage dans la forêt classée.
Les parties civiles sont convaincues que leur frère a ôté la vie de leur père. Mais, elles tentent de le sauver, avançant la thèse de la déficience mentale.
Le maître des poursuites, persuadé que l’accusé est sain d’esprit, a requis la réclusion criminelle à perpétuité. L’affaire sera vidée le 2 mars prochain.
Les faits ont eu lieu dans la matinée du 24 novembre 2017. Ce jour-là, le prévenu qui serait un ivrogne, avait trouvé son père sur la natte, en train d’effectuer son « Zikr » (invocation). Il le sollicite pour acheter son petit-déjeuner. Face au refus de son pater qui lui a rétorqué qu’il n’utiliserait l’argent que pour acheter de l’alcool. S’en est suivie une rude dispute.
Furieux contre son père, il prend un couteau et le poignarde à la poitrine avant de l’égorger. Il a pris la fuite après son forfait.
Devant le magistrat instructeur mardi, le prévenu a nié les faits qui lui sont reprochés et qu’il avait reconnus devant les enquêteurs à l’enquête préliminaire. Il a cherché à se disculper, disant qu’il n’était pas sur les lieux au moment des faits.
Interrogé sur sa disparition, le mis en cause s’est expliqué, disant qu’il travaillait dans un jardin de maraîchage dans la forêt classée.
Les parties civiles sont convaincues que leur frère a ôté la vie de leur père. Mais, elles tentent de le sauver, avançant la thèse de la déficience mentale.
Le maître des poursuites, persuadé que l’accusé est sain d’esprit, a requis la réclusion criminelle à perpétuité. L’affaire sera vidée le 2 mars prochain.