Le parquet avait requis lors du procès, une peine d’emprisonnement ferme de 5 ans contre le membre de la coalition Yewwi Askan Wi. L’édile de la ville de Dakar avait été poursuivi à la suite d’une attaque de nervis supposés envoyés par le parti au pouvoir d’alors, le Pds à la mairie de Mermoz-Sacré Cœur. Au cours de cet affrontement, l’un des gros bras, le lutteur Ndiaga Diouf, a perdu la vie en recevant une balle.
Ainsi, Barthélémy Dias a été désigné comme étant celui qui avait appuyé sur la gâchette de son arme qu’il détenait. C’est pour ce motif qu’il a été envoyé en prison. Il bénéficie, plus tard, d’une liberté provisoire à l’arrivée du Président Macky Sall, soutenu par le Parti socialiste.
Le dossier refait surface plus tard. En première instance, Barth’ a été condamné à deux ans de prison, dont 6 mois ferme pour coups mortels et détention d’arme sans autorisation administrative par le Tribunal correctionnel de Dakar, en 2017.
Une peine jugée légère par le procureur de la République qui avait interjeté appel. Donc, ce mercredi est un jour de vérité pour Barth’.
Ainsi, Barthélémy Dias a été désigné comme étant celui qui avait appuyé sur la gâchette de son arme qu’il détenait. C’est pour ce motif qu’il a été envoyé en prison. Il bénéficie, plus tard, d’une liberté provisoire à l’arrivée du Président Macky Sall, soutenu par le Parti socialiste.
Le dossier refait surface plus tard. En première instance, Barth’ a été condamné à deux ans de prison, dont 6 mois ferme pour coups mortels et détention d’arme sans autorisation administrative par le Tribunal correctionnel de Dakar, en 2017.
Une peine jugée légère par le procureur de la République qui avait interjeté appel. Donc, ce mercredi est un jour de vérité pour Barth’.