L’auteur présumé du meurtre de Mary Erika de Barros, la Sénégalaise de 28 ans et mère de cinq enfants dont des triplés, tuée jeudi dernier à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), en France, a été arrêté.
Il s'agit de son ex-mari, un Sénégalais de 45 ans. Il a été alpagué par la police italienne des frontières, vendredi soir à l’aéroport Malpensa de Milan, rapporte Vox Populi. Selon le journal, il s’était présenté au contrôle des passeports pour embarquer sur un vol à destination de Dakar, avec un sauf-conduit qui lui a été délivré par le consulat du Sénégal. Au moment du contrôle, les policiers ont découvert qu’il faisait l’objet d’un avis de recherche par les autorités françaises pour meurtre de Marie Erika de Barros.
Après son arrestation, le suspect a été conduit à la prison de Busto Arsizio d'où il sera extradé vers la France.
Pour rappel, le parquet de Bobigny avait annoncé l’ouverture d’une enquête et avait appliqué le protocole dit « féminicide », une procédure mise en place lors de violences faites aux femmes (homicide ou tentative d’homicide d’une particulière gravité) en Seine-Saint-Denis depuis 2016. L'enquête a été confiée à la police judiciaire du département.
Il s'agit de son ex-mari, un Sénégalais de 45 ans. Il a été alpagué par la police italienne des frontières, vendredi soir à l’aéroport Malpensa de Milan, rapporte Vox Populi. Selon le journal, il s’était présenté au contrôle des passeports pour embarquer sur un vol à destination de Dakar, avec un sauf-conduit qui lui a été délivré par le consulat du Sénégal. Au moment du contrôle, les policiers ont découvert qu’il faisait l’objet d’un avis de recherche par les autorités françaises pour meurtre de Marie Erika de Barros.
Après son arrestation, le suspect a été conduit à la prison de Busto Arsizio d'où il sera extradé vers la France.
Pour rappel, le parquet de Bobigny avait annoncé l’ouverture d’une enquête et avait appliqué le protocole dit « féminicide », une procédure mise en place lors de violences faites aux femmes (homicide ou tentative d’homicide d’une particulière gravité) en Seine-Saint-Denis depuis 2016. L'enquête a été confiée à la police judiciaire du département.
