Le Gouvernement du Sénégal a dernièrement décidé d’interdire la mendicité des enfants de moins de 18 ans dans les rues. Cette mesure fait l’objet d’une vive émotion au sein d’une frange de la société.
La protection de l’enfant étant une valeur fondamentale, l’Amicale des Cadres Musulmans du Sénégal (Acms) estime que toute forme d’exploitation mercantile de cette frange juvénile ne saurait être tolérée ni par la législation en vigueur ni par l’islam.
Cependant, pour nécessaire qu’elle soit, cette mesure doit faire l’objet de plus larges concertations avec tous les acteurs concernés, d'un diagnostic approfondi et être implémentée avec beaucoup de pédagogie et un suivi des mesures appliquées pour garantir sa réussite.
Aussi, l’Acms appelle-elle à plus de sérénité et de lucidité pour trouver des solutions autonomes et pérennes à la lancinante question de la mendicité des enfants et des talibés.
Pour ce faire, des actions plus vigoureuses doivent être menées dans la lutte contre la pauvreté, la prise en charge collective des daaras, composante essentielle du système éducatif sénégalais.
Par ailleurs, l’Acms manifeste sa solidarité au Centre Islamique Pour l’Appel au Coran et à la Sounna (Cipacs), communément appelé ‘Mosquée Soninké’ et au Mouvement Al-Falah qui ont fait l’objet, ces derniers jours, d’un acharnement injustifié, amplifié malheureusement par des médias.
L’Acms exhorte ces associations sœurs à continuer à assumer leurs missions de conscientisation des masses et d’éducation des jeunes dans la sérénité, la paix et l’ouverture et à ne pas se laisser divertir par des accusations gratuites qui ne méritent aucune considération.
Dans ce contexte où la lutte contre le terrorisme sert de fonds de commerce à beaucoup de personnes mal intentionnées, la visite de la plus haute autorité politique du pays, le Chef de l’Etat, à ces deux mosquées, est assez indicative de leur notoriété dans ce pays.
« Accepte ce qu'on t'offre de raisonnable, commande ce qui est convenable et éloigne-toi des ignorants.» (Coran, 8, 199).
La protection de l’enfant étant une valeur fondamentale, l’Amicale des Cadres Musulmans du Sénégal (Acms) estime que toute forme d’exploitation mercantile de cette frange juvénile ne saurait être tolérée ni par la législation en vigueur ni par l’islam.
Cependant, pour nécessaire qu’elle soit, cette mesure doit faire l’objet de plus larges concertations avec tous les acteurs concernés, d'un diagnostic approfondi et être implémentée avec beaucoup de pédagogie et un suivi des mesures appliquées pour garantir sa réussite.
Aussi, l’Acms appelle-elle à plus de sérénité et de lucidité pour trouver des solutions autonomes et pérennes à la lancinante question de la mendicité des enfants et des talibés.
Pour ce faire, des actions plus vigoureuses doivent être menées dans la lutte contre la pauvreté, la prise en charge collective des daaras, composante essentielle du système éducatif sénégalais.
Par ailleurs, l’Acms manifeste sa solidarité au Centre Islamique Pour l’Appel au Coran et à la Sounna (Cipacs), communément appelé ‘Mosquée Soninké’ et au Mouvement Al-Falah qui ont fait l’objet, ces derniers jours, d’un acharnement injustifié, amplifié malheureusement par des médias.
L’Acms exhorte ces associations sœurs à continuer à assumer leurs missions de conscientisation des masses et d’éducation des jeunes dans la sérénité, la paix et l’ouverture et à ne pas se laisser divertir par des accusations gratuites qui ne méritent aucune considération.
Dans ce contexte où la lutte contre le terrorisme sert de fonds de commerce à beaucoup de personnes mal intentionnées, la visite de la plus haute autorité politique du pays, le Chef de l’Etat, à ces deux mosquées, est assez indicative de leur notoriété dans ce pays.
« Accepte ce qu'on t'offre de raisonnable, commande ce qui est convenable et éloigne-toi des ignorants.» (Coran, 8, 199).