Les ministres en charge de la Sécurité de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Burkina Faso et du Sénégal se sont réunis à Abidjan, hier jeudi 24 mars, afin d’échanger sur les mesures à adopter dans le cadre de la prévention et de la lutte contre le terrorisme. A l’issue d’un travail de 48 heures, ils se sont accordés sur plusieurs points, rapporte Rfi.
Entre autres, l’établissement d’une unité d’action et la collaboration systématique entre les services de sécurité, ou encore la mise en place d’une carte d’identité biométrique dans la région afin de favoriser la traçabilité des mouvements de part et d’autre des frontières. Selon le colonel-major Salif Traoré, ministre malien de la Sécurité et de la Protection civile, nul n’est au bout de ses surprises, car les djihadistes peuvent encore agir n’importe où.
Seul pays à ne pas être encore touché par les terroristes, le Sénégal a tenu à participer à cette réunion. Le ministre sénégalais de l’Intérieur a insisté sur la mise en œuvre immédiate des résolutions prises au cours de cette réunion face à la menace qui se précise. Les ministres ont précisé que le djihadisme n’est pas la seule affaire des Forces de défense et de sécurité. Ils ont donc appelé les populations à ne pas hésiter à partager les informations en leur possession qui pourraient permettre d’anticiper d’éventuelles actions des terroristes.
Entre autres, l’établissement d’une unité d’action et la collaboration systématique entre les services de sécurité, ou encore la mise en place d’une carte d’identité biométrique dans la région afin de favoriser la traçabilité des mouvements de part et d’autre des frontières. Selon le colonel-major Salif Traoré, ministre malien de la Sécurité et de la Protection civile, nul n’est au bout de ses surprises, car les djihadistes peuvent encore agir n’importe où.
Seul pays à ne pas être encore touché par les terroristes, le Sénégal a tenu à participer à cette réunion. Le ministre sénégalais de l’Intérieur a insisté sur la mise en œuvre immédiate des résolutions prises au cours de cette réunion face à la menace qui se précise. Les ministres ont précisé que le djihadisme n’est pas la seule affaire des Forces de défense et de sécurité. Ils ont donc appelé les populations à ne pas hésiter à partager les informations en leur possession qui pourraient permettre d’anticiper d’éventuelles actions des terroristes.