«Il y a 100% de vol de bétail, pas à 95% chez nous», regrette Samba Ndémane, parlant au nom du chef de village. «Les voleurs nous fatiguent. Ils nous volent et vont en pleine brousse pour y égorger l’animal. Nous sollicitons vraiment l’aide des autorités», a-t-il dit.
Sous un autre registre, le porte-parole des habitants a souligné d’autres problèmes auxquels Ndoroyel est confronté. Il s’agit, entre autres, des difficultés d’approvisionnement en eau.
Sur ce point également, M. Ndémane interpelle directement le chef de l’État. Selon lui, il y a «un sérieux problème» pendant l’hivernage, car les populations n’arrivent pas à se déplacer, faute de pistes praticables, surtout entre Kothiary et leur village, où il y a un ravin.
Pour la santé, les habitants déplorent un problème d’accès à des soins de qualité. «Une case de santé y a été construite en 2007 mais depuis lors, il n’y a qu’un seul agent qui y travaille et les subventions tardent souvent à arriver. Ce qui fait que souvent, les malades sont obligés de se rendre à Kothiary, à 15 km, pour se soigner, avec tous les risques que cela comporte», a dit Samba Ndémane.
Face à toutes ces difficiles conditions de vie, les habitants de Médina Wolof interpellent l’Etat.
Sous un autre registre, le porte-parole des habitants a souligné d’autres problèmes auxquels Ndoroyel est confronté. Il s’agit, entre autres, des difficultés d’approvisionnement en eau.
Sur ce point également, M. Ndémane interpelle directement le chef de l’État. Selon lui, il y a «un sérieux problème» pendant l’hivernage, car les populations n’arrivent pas à se déplacer, faute de pistes praticables, surtout entre Kothiary et leur village, où il y a un ravin.
Pour la santé, les habitants déplorent un problème d’accès à des soins de qualité. «Une case de santé y a été construite en 2007 mais depuis lors, il n’y a qu’un seul agent qui y travaille et les subventions tardent souvent à arriver. Ce qui fait que souvent, les malades sont obligés de se rendre à Kothiary, à 15 km, pour se soigner, avec tous les risques que cela comporte», a dit Samba Ndémane.
Face à toutes ces difficiles conditions de vie, les habitants de Médina Wolof interpellent l’Etat.