Dernièrement, indique Le Populaire, alors qu'elle allait à la boutique, vers les coups de 17h, elle a dépassé un groupe de jeunes, dont une femme qui faisait du thé, devant le domicile familial. Et, puisqu'elle ne les connaissait pas, elle dit les avoir dépassés sans les saluer. Tout de suite, raconte-t-elle, l'un d'eux s'est levé pour lui dire : "Tu ne peux pas saluer les gens ?". Sans attendre, elle lui rétorquera : "C'est parce que je ne vous connais pas". Et, lorsque ce dernier a insisté, elle dit avoir continué son chemin. Un geste qui a sans doute frustré le sieur El H. D. Fall qui, lorsqu'il a aperçu la jeune femme à son retour de la boutique, s'est tout de suite levé pour l'insulter de mère. Ce, tout en lui ordonnant de ne plus passer devant chez eux. Pour éviter les problèmes, N. Diaw dit avoir contourné le véhicule garé sur la devanture de la maison de son détracteur qui continuait à l'insulter.
A l'en croire, c'est lorsqu'elle a renvoyé les insultes que son bourreau, énervé, est venu vers elle pour lui administrer deux gifles. Et, avant qu'elle ne réalise ce qui venait de lui arriver, la plaignante narre que la sœur de ce dernier est venue lui verser la tasse de thé chaud qu'elle avait entre les mains. Comme si cela ne suffisait pas, poursuit-elle dans le journal, le mis en cause et sa sœur se sont rués sur elle pour la rouer de coups allant même jusqu'à lui arracher les tresses. N'eût été l'intervention des passant, indique-t-elle, ces derniers allaient la tuer.
Une version de l'histoire bien différente de celle de S. Fall et de son frère. A les en croire, la jeune femme, qui les a trouvés devant la maison familiale, les a dépassés et a même failli renverser la théière. Interpellée sur son acte, la victime aurait répondu avec insolence et, à son retour de la boutique, elle s'est mise à les insulter de mère. C'est ainsi, selon le jeune homme, que sa sœur est intervenue pour lui demander d'arrêter les insanités. Mais contre toute attente, poursuit-il, la plaignante s'est attaqué à sa sœur en s'agrippant à ses tresses. Des explications qui n'ont pas dû convaincre les enquêteurs qui ont déféré S. Fall et son frère au parquet.
A l'en croire, c'est lorsqu'elle a renvoyé les insultes que son bourreau, énervé, est venu vers elle pour lui administrer deux gifles. Et, avant qu'elle ne réalise ce qui venait de lui arriver, la plaignante narre que la sœur de ce dernier est venue lui verser la tasse de thé chaud qu'elle avait entre les mains. Comme si cela ne suffisait pas, poursuit-elle dans le journal, le mis en cause et sa sœur se sont rués sur elle pour la rouer de coups allant même jusqu'à lui arracher les tresses. N'eût été l'intervention des passant, indique-t-elle, ces derniers allaient la tuer.
Une version de l'histoire bien différente de celle de S. Fall et de son frère. A les en croire, la jeune femme, qui les a trouvés devant la maison familiale, les a dépassés et a même failli renverser la théière. Interpellée sur son acte, la victime aurait répondu avec insolence et, à son retour de la boutique, elle s'est mise à les insulter de mère. C'est ainsi, selon le jeune homme, que sa sœur est intervenue pour lui demander d'arrêter les insanités. Mais contre toute attente, poursuit-il, la plaignante s'est attaqué à sa sœur en s'agrippant à ses tresses. Des explications qui n'ont pas dû convaincre les enquêteurs qui ont déféré S. Fall et son frère au parquet.