Une accusation, qu'elle a niée avec véhémence ce mardi, devant le tribunal correctionnel où elle a comparu sans convaincre le parquet de son innocence, lequel a requis trois ans d'emprisonnement ferme contre elle.
Exploitant une information anonyme, les éléments du Commissariat de la Médina ont fait une descente dans le domicile de la grand-mère de la mise en cause vers les coups de 20h. Sur place, lesdits agents vont trouver dans la chambre où était installée Ganna Sylla, un sachet contenant 12 pierres de cocaïne.
Arrêtée et conduite au Commissariat, Ganna Sylla essaye de tromper la religion des enquêteurs, en soutenant que le produit trouvé dans le sachet était de l'encens et non de la cocaïne. Et c'est sa sœur qui l'avait déposé sur la commode.
Inculpée et placée sous mandat de dépôt, Ganna Sylla change de fusil d'épaule devant le magistrat-instructeur, en déclarant qu'elle ne connaissait pas le propriétaire de la drogue. Car souligne-t-elle, elle n'habite pas dans le domicile où les enquêteurs l'avait trouvé. En outre, c'est sa cousine qui est le propriétaire de la chambre.
Des propos qu'elle a réitérés ce matin devant la barre du tribunal correctionnel, où elle a été attraite pour offre et cession de drogue. « La drogue que les enquêteurs ont trouvé dans la chambre de ma cousine, ne m'appartient pas. Suite à mon séjour carcéral en 2010, je me suis lancée dans la restauration. Je me suis retrouvée fortuitement dans la chambre le jour de mon arrestation pour me reposer. Parce que, j'habite non loin du domicile de ma grand-mère », a-t-elle dit.
« Les faits sont têtus à l'encontre de la prévenue. La récidiviste est permanente et très dangereuse pour notre société actuellement. Le parquet avait même demandé son renvoi devant la chambre criminelle. Mais le juge d'instruction en a décidé autrement. Et, l'analyse scientifique avait révélé que la drogue était mélangée avec de la métamphétamine, qui est une substance très addictive », relève le maître des poursuites avant de requérir trois ans d'emprisonnement ferme contre elle.
La défense quant à elle, a plaidé la relaxe.
Au terme de sa plaidoirie, le juge a fixé le délibéré au 10 avril prochain.
Exploitant une information anonyme, les éléments du Commissariat de la Médina ont fait une descente dans le domicile de la grand-mère de la mise en cause vers les coups de 20h. Sur place, lesdits agents vont trouver dans la chambre où était installée Ganna Sylla, un sachet contenant 12 pierres de cocaïne.
Arrêtée et conduite au Commissariat, Ganna Sylla essaye de tromper la religion des enquêteurs, en soutenant que le produit trouvé dans le sachet était de l'encens et non de la cocaïne. Et c'est sa sœur qui l'avait déposé sur la commode.
Inculpée et placée sous mandat de dépôt, Ganna Sylla change de fusil d'épaule devant le magistrat-instructeur, en déclarant qu'elle ne connaissait pas le propriétaire de la drogue. Car souligne-t-elle, elle n'habite pas dans le domicile où les enquêteurs l'avait trouvé. En outre, c'est sa cousine qui est le propriétaire de la chambre.
Des propos qu'elle a réitérés ce matin devant la barre du tribunal correctionnel, où elle a été attraite pour offre et cession de drogue. « La drogue que les enquêteurs ont trouvé dans la chambre de ma cousine, ne m'appartient pas. Suite à mon séjour carcéral en 2010, je me suis lancée dans la restauration. Je me suis retrouvée fortuitement dans la chambre le jour de mon arrestation pour me reposer. Parce que, j'habite non loin du domicile de ma grand-mère », a-t-elle dit.
« Les faits sont têtus à l'encontre de la prévenue. La récidiviste est permanente et très dangereuse pour notre société actuellement. Le parquet avait même demandé son renvoi devant la chambre criminelle. Mais le juge d'instruction en a décidé autrement. Et, l'analyse scientifique avait révélé que la drogue était mélangée avec de la métamphétamine, qui est une substance très addictive », relève le maître des poursuites avant de requérir trois ans d'emprisonnement ferme contre elle.
La défense quant à elle, a plaidé la relaxe.
Au terme de sa plaidoirie, le juge a fixé le délibéré au 10 avril prochain.