Le numéro est dans les kiosques depuis bientôt un mois. Sans trop de bruits, Fabienne Diouf Guillabert a lancé le magazine Emergences Afrique qui paraît une fois par mois. Les centres d’intérêt ont trait avec l’Afrique qui bouge. Pour le premier numéro, c’est Abdou Diouf qui est à la Une.
La cible qui intéresse Fabienne Diouf Guillabert est ’’portée par plus d’un milliard d’habitants, une classe moyenne en plein essor, une jeunesse formée et ouverte sur le monde, des entreprises performantes, de la créativité à revendre etc’’. Ces mots sont contenus dans le communiqué de presse diffusé à cet effet qui ajoute que ’’l’Afrique d’aujourd’hui mérite un magazine qui porte ses ambitions’’. Car, les chiffres parlent d’eux mêmes, selon Fabienne Diouf. ’’Depuis le début des années 2000, l’Afrique subsaharienne connaît une période de croissance largement supérieure à celle du reste du monde’’.
La diaspora semble constituer un enjeu par Fabienne Diouf qui informe que le magazine est disponible ’’en kiosques et points de vente en Europe (France, Belgique, Suisse, Luxembourg), en Afrique (Maroc, Tunisie, Algérie, Côte d’Ivoire, Sénégal, Cameroun, Gabon, Bénin, Togo, République du Congo, Mali…), sur de nombreuses compagnes aériennes, dans les aéroports internationaux, dans les ambassades, représentations diplomatiques, offices du tourisme etc’’.
Dans le premier numéro, la parole est donnée à Jacques Attali dans un article intitulé ’’53 propositions pour la Francophonie’’ et au poète El Hadj Amadou Sall. Le magazine évoque le cinéma africain avec Nollywood, le tourisme au Rwanda etc. Mais c’est l’interview d’Abdou Diouf sur son bilan qui est le papier-phare.
Laurent Nadjar est le Directeur du développement du magazine alors que Laurence Beauvais en est la Rédactrice en chef...
La cible qui intéresse Fabienne Diouf Guillabert est ’’portée par plus d’un milliard d’habitants, une classe moyenne en plein essor, une jeunesse formée et ouverte sur le monde, des entreprises performantes, de la créativité à revendre etc’’. Ces mots sont contenus dans le communiqué de presse diffusé à cet effet qui ajoute que ’’l’Afrique d’aujourd’hui mérite un magazine qui porte ses ambitions’’. Car, les chiffres parlent d’eux mêmes, selon Fabienne Diouf. ’’Depuis le début des années 2000, l’Afrique subsaharienne connaît une période de croissance largement supérieure à celle du reste du monde’’.
La diaspora semble constituer un enjeu par Fabienne Diouf qui informe que le magazine est disponible ’’en kiosques et points de vente en Europe (France, Belgique, Suisse, Luxembourg), en Afrique (Maroc, Tunisie, Algérie, Côte d’Ivoire, Sénégal, Cameroun, Gabon, Bénin, Togo, République du Congo, Mali…), sur de nombreuses compagnes aériennes, dans les aéroports internationaux, dans les ambassades, représentations diplomatiques, offices du tourisme etc’’.
Dans le premier numéro, la parole est donnée à Jacques Attali dans un article intitulé ’’53 propositions pour la Francophonie’’ et au poète El Hadj Amadou Sall. Le magazine évoque le cinéma africain avec Nollywood, le tourisme au Rwanda etc. Mais c’est l’interview d’Abdou Diouf sur son bilan qui est le papier-phare.
Laurent Nadjar est le Directeur du développement du magazine alors que Laurence Beauvais en est la Rédactrice en chef...
