Se réjouissant de cette décision, son avocat Me Moussa Sarr a souligné que son client est un bouclier contre le terrorisme, un homme de paix, dont le pays a besoin pour l’éducation de ses enfants.
« Si nous avons eu ce résultat, nous le devons d’abord à la volonté divine. Ensuite, c’est l’occasion de rendre hommage à la justice. Moi, je suis un homme qui croit à la justice de mon pays quel que soit par ailleurs, les difficultés du moment. J’ai toujours dit que je crois à la justice de mon pays », a d’emblée précisé la robe noire.
Avant de poursuivre : « Nous avons toujours dit qu’Imam n’avait commis aucun acte infractionnel. La décision vient de le démontrer. Aujourd’hui, par la grâce d’Allah, il va retourner à son Daara. Il va continuer à éduquer et à former les jeunes de ce pays pour qu’ils des musulmans et des citoyens modèles ».
« Nous avons estimé dès l’instruction qu’on pouvait bénéficier d’une ordonnance de non-lieu parce que le dossier ne comportait aucun fait. Mais la justice avait décidé autrement et l’avons accepté. Nous avons continué le combat judiciaire devant la chambre criminelle. Et, nous avons démontré devant l’opinion nationale et internationale qu’Imam Ndao n’est pas un terroriste. Au contraire, c’est un bouclier contre le terrorisme, un homme de paix, dont le pays a besoin pour l’éducation de ses enfants. »
« Si nous avons eu ce résultat, nous le devons d’abord à la volonté divine. Ensuite, c’est l’occasion de rendre hommage à la justice. Moi, je suis un homme qui croit à la justice de mon pays quel que soit par ailleurs, les difficultés du moment. J’ai toujours dit que je crois à la justice de mon pays », a d’emblée précisé la robe noire.
Avant de poursuivre : « Nous avons toujours dit qu’Imam n’avait commis aucun acte infractionnel. La décision vient de le démontrer. Aujourd’hui, par la grâce d’Allah, il va retourner à son Daara. Il va continuer à éduquer et à former les jeunes de ce pays pour qu’ils des musulmans et des citoyens modèles ».
« Nous avons estimé dès l’instruction qu’on pouvait bénéficier d’une ordonnance de non-lieu parce que le dossier ne comportait aucun fait. Mais la justice avait décidé autrement et l’avons accepté. Nous avons continué le combat judiciaire devant la chambre criminelle. Et, nous avons démontré devant l’opinion nationale et internationale qu’Imam Ndao n’est pas un terroriste. Au contraire, c’est un bouclier contre le terrorisme, un homme de paix, dont le pays a besoin pour l’éducation de ses enfants. »