Le populaire revient dans son numéro de ce vendredi sur le procès opposant Karim Wade à Alboury Ndao. Et selon le journal, Me El Hadji Diouf a encore fait des siennes, hier, au tribunal correctionnel en s’opposant toujours aux avocats de de l'ancien ministre d'Etat, même quand ces derniers voulaient poser des questions. Il s’en est pris à Me Ciré Clédor Ly en intervenant et chuchotant à l’oreille de son client. Ce qui a fait sortir Me Ly de ses gonds, qui s’est adressé au tribunal en ces termes : «président, j’ai envie de le battre». Me Seydou Diagne lui a également dit d’arrêter ses pitreries, des propos qui ont fait que Me Diouf s’exclame tout haut : «je ne vous le permets pas, je suis un digne député du peuple sénégalais». Et quand d’aventure, Me Diagne parle d’Alboury Ndao comme un coupable, Me El Hadji Diouf s’emporte de nouveau.
Me Diagne qui a par la suite appelé Alboury par son prénom a ajouté qu’il le faisait pour faire plaisir à Me Diouf. Mais ce dernier grincheux, a rétorqué : «je n’ai pas besoin que vous me fassiez plaisir, mes femmes suffisent pour me faire plaisir». Mais, comme toute chose a une fin, Me Diouf s’est cette fois-ci frotté à plus teigneux que lui quand Me Amadou Sall a voulu poser des questions au prévenu. Avant qu’il n’intervienne comme il l’a fait avec les autres avocats, Me Sall lui a rappelé qu’il était son aîné et qu’il était plus ancien que tous les avocats qui plaidaient, car ayant fait plus de trente ans de service. Me Sall termine par ces mots : «ne m’interrompez plus». Ce qui a bien calmé Me El Hadji Diouf qui a mis plus d’eau dans son vin.
Me Diagne qui a par la suite appelé Alboury par son prénom a ajouté qu’il le faisait pour faire plaisir à Me Diouf. Mais ce dernier grincheux, a rétorqué : «je n’ai pas besoin que vous me fassiez plaisir, mes femmes suffisent pour me faire plaisir». Mais, comme toute chose a une fin, Me Diouf s’est cette fois-ci frotté à plus teigneux que lui quand Me Amadou Sall a voulu poser des questions au prévenu. Avant qu’il n’intervienne comme il l’a fait avec les autres avocats, Me Sall lui a rappelé qu’il était son aîné et qu’il était plus ancien que tous les avocats qui plaidaient, car ayant fait plus de trente ans de service. Me Sall termine par ces mots : «ne m’interrompez plus». Ce qui a bien calmé Me El Hadji Diouf qui a mis plus d’eau dans son vin.