Le président de la FSF répondait aux questions des journalistes en marge d’une conférence internationale sur l’utilisation stratégique de la propriété intellectuelle (PI) pour promouvoir le développement de l’industrie sportive en Afrique.
Citant les exemples de pays africains dont l’image a été lustrée par une bonne performance sportive, le Nigérian Geoffrey Onyeama, de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle a parlé du Sénégal et de son quart de finale de coupe du monde.
Certes, des joueurs en ont profité pour signer des contrats, mais Me Senghor se demande si ces derniers ont tiré un profit personnel de leur image pendant cette compétition.
‘’Si effectivement cette coupe du monde (2002) a permis au Sénégal de se faire connaître, on n’a pas senti en termes de rayonnement et de retombées financières que notre football en ait tiré profit’’, a-t-il analysé.
D’où l’importance de cette conférence internationale selon le président de la FSF, qui estime qu’elle devrait permettre de donner les armes aux dirigeants pour une meilleure utilisation des retombées d’une qualification dans une grande compétition, à la coupe du monde et/ou aux Jeux olympiques.
La conférence internationale a été ouverte par le ministre des Sports, Mbagnick Ndiaye. Et plusieurs personnalités du monde sportif (CIO, FIFA) et des juristes ont pris part à la rencontre qui sera clôturée ce mercredi.
APS
Citant les exemples de pays africains dont l’image a été lustrée par une bonne performance sportive, le Nigérian Geoffrey Onyeama, de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle a parlé du Sénégal et de son quart de finale de coupe du monde.
Certes, des joueurs en ont profité pour signer des contrats, mais Me Senghor se demande si ces derniers ont tiré un profit personnel de leur image pendant cette compétition.
‘’Si effectivement cette coupe du monde (2002) a permis au Sénégal de se faire connaître, on n’a pas senti en termes de rayonnement et de retombées financières que notre football en ait tiré profit’’, a-t-il analysé.
D’où l’importance de cette conférence internationale selon le président de la FSF, qui estime qu’elle devrait permettre de donner les armes aux dirigeants pour une meilleure utilisation des retombées d’une qualification dans une grande compétition, à la coupe du monde et/ou aux Jeux olympiques.
La conférence internationale a été ouverte par le ministre des Sports, Mbagnick Ndiaye. Et plusieurs personnalités du monde sportif (CIO, FIFA) et des juristes ont pris part à la rencontre qui sera clôturée ce mercredi.
APS