Après avoir lancé un appel à l’union autour de l’équipe jeudi en marge de la signature en partenariat à hauteur de 300 millions entre la fédération sénégalaise de football et la société une société d'hydrocarbure , Me Augustin Senghor a réitéré son vœu de voir tout un peuple viser le même objectif.
Le président de la Fsf avait estimé que l’unité autour du drapeau est le « seul moyen » qui va nous permettre d’arriver à quelque chose.
Lors de la publication de la liste des 23 joueurs retenus pour disputer la Can, le patron du football sénégalais, de toutes confessions, doivent jouer, selon lui. L’union sacrée, c’est exactement cela qu’il souhaite.
« Nous avons lancé un appel à l’union autour de l’équipe. Ce qui ne date pas aujourd’hui parce cette union ne saurait être circonstancielle. Il y a des moments importants où il faut mettre l’accent sur ça. Nous sommes convaincus que si nos joueurs sentent derrière eux l’ensemble de la nation dans sa diversité, cela ne peut être qu’un élément qui va les porter, les motiver davantage vers un résultat positif. Nous sollicitons l’appui de la presse sportive et de toute la presse », a-t-il demandé.
Le président de la fédération pense qu’il y a un temps pour toute chose. Et il est venu le temps de marcher main dans la main. « Dans beaucoup de pays, à certains moments décisifs, malgré les divergences sur les choix de l’entraineur, le jeu pratiqué, on fait abstraction de tout cela, c’est l’union sacré des cœurs pour gagner ensemble ».
Terminant l’année première nation africaine au classement Fifa, Me Senghor souligne que ce ranking est « le fruit d’un travail ». « Mon vœu, au sortir de la Can est de rester premier africain au classement Fifa. Cela signifiera qu’on aura fait une finale ou une demie finale ».
Ainsi, Me Senghor a-t-il sollicité des prières de la part de toutes les familles religieuses du pays de toutes confessions et de toutes appartenances.
Dans le souci de mettre les joueurs dans les conditions idoines, Me Senghor annonce l’accompagnement des groupes de supporters basés ici et là-bas : « nous avons fait deux visites de prospections.
On a identifié l’hébergement de l’équipe et des membres de l’équipe à Franceville et à Mongomo. L’équipe sera dans les conditions adéquates avec son staff. Nous ferons une ‘’maison du Sénégal’’ où les gens pourront se retrouver ».
Me Senghor n’est pas le seul à lancer un pareil appel. Le sélectionneur Aliou Cissé a abondé dans le même sens : « on prie Dieu qu’on obtienne la même victoire qu’a eu au Gabon le marabout Cheikh Ahmadou Bamba ».
Le président de la Fsf avait estimé que l’unité autour du drapeau est le « seul moyen » qui va nous permettre d’arriver à quelque chose.
Lors de la publication de la liste des 23 joueurs retenus pour disputer la Can, le patron du football sénégalais, de toutes confessions, doivent jouer, selon lui. L’union sacrée, c’est exactement cela qu’il souhaite.
« Nous avons lancé un appel à l’union autour de l’équipe. Ce qui ne date pas aujourd’hui parce cette union ne saurait être circonstancielle. Il y a des moments importants où il faut mettre l’accent sur ça. Nous sommes convaincus que si nos joueurs sentent derrière eux l’ensemble de la nation dans sa diversité, cela ne peut être qu’un élément qui va les porter, les motiver davantage vers un résultat positif. Nous sollicitons l’appui de la presse sportive et de toute la presse », a-t-il demandé.
Le président de la fédération pense qu’il y a un temps pour toute chose. Et il est venu le temps de marcher main dans la main. « Dans beaucoup de pays, à certains moments décisifs, malgré les divergences sur les choix de l’entraineur, le jeu pratiqué, on fait abstraction de tout cela, c’est l’union sacré des cœurs pour gagner ensemble ».
Terminant l’année première nation africaine au classement Fifa, Me Senghor souligne que ce ranking est « le fruit d’un travail ». « Mon vœu, au sortir de la Can est de rester premier africain au classement Fifa. Cela signifiera qu’on aura fait une finale ou une demie finale ».
Ainsi, Me Senghor a-t-il sollicité des prières de la part de toutes les familles religieuses du pays de toutes confessions et de toutes appartenances.
Dans le souci de mettre les joueurs dans les conditions idoines, Me Senghor annonce l’accompagnement des groupes de supporters basés ici et là-bas : « nous avons fait deux visites de prospections.
On a identifié l’hébergement de l’équipe et des membres de l’équipe à Franceville et à Mongomo. L’équipe sera dans les conditions adéquates avec son staff. Nous ferons une ‘’maison du Sénégal’’ où les gens pourront se retrouver ».
Me Senghor n’est pas le seul à lancer un pareil appel. Le sélectionneur Aliou Cissé a abondé dans le même sens : « on prie Dieu qu’on obtienne la même victoire qu’a eu au Gabon le marabout Cheikh Ahmadou Bamba ».