En effet, placé en détention préventive depuis le 18 avril 2023 dernier, quel sera le sort du Secrétaire général du parti Pastef dissout par décret présidentiel du 31 juillet dernier par rapport à la campagne électorale qui va démarrer le 3 février prochain ?
Selon Me Amath Thiam consultant en droit pénal, « dans la rigueur des principes, le candidat Diomaye devrait battre campagne comme les autres à partir du 3 février prochain, date du démarrage officiel de cette campagne.
Le consultant en droit pénal tout en faisant remarquer cependant qu’il n’existe « aucune disposition légale ou réglementaire dans notre droit positif qui résout de manière explicite la problématique d’un candidat à l’élection présidentielle qui est sous mandat de dépôt », a indiqué que c’est aux avocats du candidat de mener au niveau du Juge d’instruction et du Parquet la bataille de sa mise en liberté provisoire.
Selon Me Amath Thiam consultant en droit pénal, « dans la rigueur des principes, le candidat Diomaye devrait battre campagne comme les autres à partir du 3 février prochain, date du démarrage officiel de cette campagne.
Le consultant en droit pénal tout en faisant remarquer cependant qu’il n’existe « aucune disposition légale ou réglementaire dans notre droit positif qui résout de manière explicite la problématique d’un candidat à l’élection présidentielle qui est sous mandat de dépôt », a indiqué que c’est aux avocats du candidat de mener au niveau du Juge d’instruction et du Parquet la bataille de sa mise en liberté provisoire.