"Senghor était un binational, cela n’a choqué personne. C’est qu’au Sénégal, il suffit au moment de dépôt de candidature de faire une déclaration d’honneur qui consiste à renoncer sa nationalité étrangère. Et au moment venu, Karim Wade va faire sa déclaration d’honneur pour se présenter à la présidentielle prochaine", rappelle-t-il, avant d’insister qu’il "n y a pas de plan B ou de plan C au Pds à propos de la candidature à la présidentielle prochaine".
Me El Hadji Amadou Sall a fait savoir que "les comptes de Karim Wade à Dakar sont bloqués. Il y a zéro franc dans les comptes de Karim Wade". Et de révéler que "Abdoulaye Wade a fait le partage de son héritage. La maison du Point E est léguée à Karim Wade. Son père lui-même, Abdoulaye Wade n’est plus un citoyen français depuis 1960. Maintenant, si Macky Sall veut faire d’Abdoulaye Wade un sans-domicile-fixe (SDF), il peut le faire mais il assumera les conséquences de son geste devant l’histoire".
L’avocat de Karim Wade dément l’information selon laquelle "le PDS a commis un cabinet français pour déstabiliser le régime en place". "C’est archi faux. Personne ne peut influencer un journal comme Le Monde. C’est la panique au niveau du pouvoir à cause de l’image peu reluisante du pays qu’il construite…"
Il juge la plainte de Karim Wade devant le tribunal de la première instance de Paris est "une démarche pertinente car il est établi qu’il est arrêté et détenu arbitrairement. L’obligation du Sénégal est de le libérer conformément aux avis du groupe de travail de l’ONU et de cesser la Crei qui n’est pas bonne pour l’image du pays".
Me El Hadji Amadou Sall a fait savoir que "les comptes de Karim Wade à Dakar sont bloqués. Il y a zéro franc dans les comptes de Karim Wade". Et de révéler que "Abdoulaye Wade a fait le partage de son héritage. La maison du Point E est léguée à Karim Wade. Son père lui-même, Abdoulaye Wade n’est plus un citoyen français depuis 1960. Maintenant, si Macky Sall veut faire d’Abdoulaye Wade un sans-domicile-fixe (SDF), il peut le faire mais il assumera les conséquences de son geste devant l’histoire".
L’avocat de Karim Wade dément l’information selon laquelle "le PDS a commis un cabinet français pour déstabiliser le régime en place". "C’est archi faux. Personne ne peut influencer un journal comme Le Monde. C’est la panique au niveau du pouvoir à cause de l’image peu reluisante du pays qu’il construite…"
Il juge la plainte de Karim Wade devant le tribunal de la première instance de Paris est "une démarche pertinente car il est établi qu’il est arrêté et détenu arbitrairement. L’obligation du Sénégal est de le libérer conformément aux avis du groupe de travail de l’ONU et de cesser la Crei qui n’est pas bonne pour l’image du pays".