⇒ 13 secondes. Le temps nécessaire à Conor McGregor en 2015 pour mettre au tapis le Brésilien José Aldo, avec un fulgurant crochet du gauche. Difficile, par contre, de dire s’il viendra à bout aussi rapidement de son adversaire samedi : l’Irlandais n’a jamais disputé un seul match de boxe anglaise de sa vie.
⇒ 49 combats. Depuis le début de sa carrière professionnelle, Mayweather n’a perdu aucun de ses combats (49 victoires, dont 26 par KO). S’il remporte son dernier duel samedi, pour lequel il part d’ailleurs largement favori, « Pretty Boy » (car son visage est rarement amoché par ses adversaires) rejoindra la liste des rares boxeurs invaincus dans l’histoire de la discipline, dont le légendaire Rocky Marciano.
⇒ 3 360 diamants. La ceinture « Money Belt », qui sera remise samedi au vainqueur du combat par le président du World Boxing Council, est sertie de 3 360 diamants, 600 saphirs et 300 émeraudes. Près de 1,5 kg d’or aura été nécessaire à sa fabrication.
⇒ 99, 99 dollars. C’est le prix dont devront s’acquitter les Américains pour suivre l’événement en haute définition sur leur téléviseur. Détentrice des droits de diffusion, la chaîne Showtime Sports a en effet opté pour le système de « pay-per-view » (diffusion payante à la demande). Au total, les organisateurs espèrent au minimum, cinq millions de paiements aux États-Unis, soit environ 500 millions de dollars de recettes.
⇒ 10 millions de dollars. La somme payée par la brasserie mexicaine Corona pour sponsoriser le combat. En échange, un logo de la marque sera présent sur le ring.
⇒ 1 milliard de dollars. Avec le pay-per-view, les droits de télévision à l’étranger, la billetterie et les sponsors, le « combat du siècle » pourrait générer environ, un milliard de dollars de revenus. Ce qui en ferait le combat le plus lucratif de l’histoire, bien loin devant celui entre Mayweather et Pacquiao (seulement 650 millions de dollars de recettes).
⇒ 800 millions de dollars. Mayweather n’est pas surnommé « Money » pour rien. Au cours de sa carrière, l’Américain a amassé près de 800 millions de dollars. Une fortune qui devrait s’étoffer de 250 millions de dollars, s’il remporte le combat de samedi, grâce au prize-money et aux recettes de la télévision.
⇒ 49 combats. Depuis le début de sa carrière professionnelle, Mayweather n’a perdu aucun de ses combats (49 victoires, dont 26 par KO). S’il remporte son dernier duel samedi, pour lequel il part d’ailleurs largement favori, « Pretty Boy » (car son visage est rarement amoché par ses adversaires) rejoindra la liste des rares boxeurs invaincus dans l’histoire de la discipline, dont le légendaire Rocky Marciano.
⇒ 3 360 diamants. La ceinture « Money Belt », qui sera remise samedi au vainqueur du combat par le président du World Boxing Council, est sertie de 3 360 diamants, 600 saphirs et 300 émeraudes. Près de 1,5 kg d’or aura été nécessaire à sa fabrication.
⇒ 99, 99 dollars. C’est le prix dont devront s’acquitter les Américains pour suivre l’événement en haute définition sur leur téléviseur. Détentrice des droits de diffusion, la chaîne Showtime Sports a en effet opté pour le système de « pay-per-view » (diffusion payante à la demande). Au total, les organisateurs espèrent au minimum, cinq millions de paiements aux États-Unis, soit environ 500 millions de dollars de recettes.
⇒ 10 millions de dollars. La somme payée par la brasserie mexicaine Corona pour sponsoriser le combat. En échange, un logo de la marque sera présent sur le ring.
⇒ 1 milliard de dollars. Avec le pay-per-view, les droits de télévision à l’étranger, la billetterie et les sponsors, le « combat du siècle » pourrait générer environ, un milliard de dollars de revenus. Ce qui en ferait le combat le plus lucratif de l’histoire, bien loin devant celui entre Mayweather et Pacquiao (seulement 650 millions de dollars de recettes).
⇒ 800 millions de dollars. Mayweather n’est pas surnommé « Money » pour rien. Au cours de sa carrière, l’Américain a amassé près de 800 millions de dollars. Une fortune qui devrait s’étoffer de 250 millions de dollars, s’il remporte le combat de samedi, grâce au prize-money et aux recettes de la télévision.
Jeuneafrique.com