La CAF a annoncé une liste de douze nouveaux partenaires. Parmi les soutiens historiques de la CAF, TotalEnergies, la société française de l’énergie et du pétrole, est le sponsor officiel de la CAF dans le cadre d’un contrat de huit ans signé en 2016 pour un montant déclaré de 250 millions de dollars. Sans compter 1XBet, la société de paris russe, partenaire depuis 2019, qui a signé un accord sur dix ans d’une valeur de 65,4 millions de dollars (60 millions d’euros).
À cela se sont ajoutés l’an dernier des géants comme Unilever et Visa qui n’ont pas rechigné à trouver un terrain d’entente avec l’instance faitière du football africain. Cerise sur le gâteau : le troisième du tournoi perçoit davantage d’argent que le quatrième. 3 millions de dollars contre 2,5 millions de dollars.
Mais le vainqueur de la CAN touchera la coquette somme de 7 millions de dollars, un peu plus de 4,2 milliards de F cfa, (5,5 millions de livres sterling), soit une augmentation de 40 % par rapport à la dernière édition de la CAN. Et le malheureux finaliste percevra 4 millions de dollars.
La CAF remplit un stade de plus, qu’elle peut vendre à ses sponsors et diffuseurs. Le Comité local d’organisation s’offre alors des revenus provenant des milliers de places vendues en plus de la visibilité à la télévision.
Autre avantage de la rencontre : elle permet à la CAF d’occuper le terrain et de faire patienter avant la grande finale de la compétition, programmée le lendemain. Même si, de loin, ce n’est pas le match le plus attendu, il nourrit les fans de football africain habitués à suivre la grande fête du football depuis le 13 janvier 2024.
À cela se sont ajoutés l’an dernier des géants comme Unilever et Visa qui n’ont pas rechigné à trouver un terrain d’entente avec l’instance faitière du football africain. Cerise sur le gâteau : le troisième du tournoi perçoit davantage d’argent que le quatrième. 3 millions de dollars contre 2,5 millions de dollars.
Mais le vainqueur de la CAN touchera la coquette somme de 7 millions de dollars, un peu plus de 4,2 milliards de F cfa, (5,5 millions de livres sterling), soit une augmentation de 40 % par rapport à la dernière édition de la CAN. Et le malheureux finaliste percevra 4 millions de dollars.
La CAF remplit un stade de plus, qu’elle peut vendre à ses sponsors et diffuseurs. Le Comité local d’organisation s’offre alors des revenus provenant des milliers de places vendues en plus de la visibilité à la télévision.
Autre avantage de la rencontre : elle permet à la CAF d’occuper le terrain et de faire patienter avant la grande finale de la compétition, programmée le lendemain. Même si, de loin, ce n’est pas le match le plus attendu, il nourrit les fans de football africain habitués à suivre la grande fête du football depuis le 13 janvier 2024.