«Ce qui se passe dans nos infrastructures sportives, dans nos stades est regrettable et inacceptable. Mais, ce n’est pas une question de sport. Mais, une question de société. Cette violence est verbale, physique et, elle est partout dans nos familles.
Ce n’est pas au ministère du sport qu’on pourra régler la chose. Donc, si on veut analyser ce qui se passe, il faut retourner vers les familles et renforcer l’éducation de nos enfants.
Parce que, celui qui quitte son domicile pour aller assister à une compétition sportive, s’il y va tout simplement pour se faire plaisir, il n’aura pas le temps de se battre ou de faire de la casse», dit-il.
Ce n’est pas au ministère du sport qu’on pourra régler la chose. Donc, si on veut analyser ce qui se passe, il faut retourner vers les familles et renforcer l’éducation de nos enfants.
Parce que, celui qui quitte son domicile pour aller assister à une compétition sportive, s’il y va tout simplement pour se faire plaisir, il n’aura pas le temps de se battre ou de faire de la casse», dit-il.