Dans la région de Matam, des agents de la santé, infirmiers-chef de poste et sages-femmes, continuent d’être payés par les comités de santé et les Associations de forages ruraux (ASUFOR), sur la base de rigoureux contrats, selon les informations fournies par la sous-section du Syndicat Démocratique des Travailleurs de la Santé et du secteur Social (SDT3S).
Les syndicalistes qui multiplient les sorties pour de meilleures conditions d’existence et de travail de ces personnels (détenteurs d’un diplôme d’Etat), à partir d’un recrutement dans la Fonction publique (ministère de la Santé) ou la Fonction publique locale, n’ont toujours pas eu un retour satisfaisant de l’Etat, qui s’étend en promesses et de même que les collectivités territoriale,s qui se distinguent de par leur léthargie malgré les compétences qui leur sont transférées.
Forts de cela, des infirmiers, des infirmières et des sages-femmes, membres du Syndicat Démocratique des Travailleurs de la Santé et du secteur Social (SDT3S), ont observé, avant-hier, un sit-in au niveau du centre de santé de Matam.
En provenance des 27 postes de santé que compte la région, les blouses blanches qui ont abandonné les structures de soin, ont élevé la voix pour exiger de l’Etat le respect de leurs revendications. Parmi celles-ci, le recrutement du personnel communautaire (Infirmiers, ICP et sages-femmes diplômés) en service au niveau des postes de santé, où ils occupent des responsabilités.
« Devant l’inertie que l‘Etat affiche face à la satisfaction de cette revendication que nous ne cessons d’agiter depuis 2021, nous avons pris l’option de durcir la lutte pour nous faire entendre », a martelé Thierno Kébé, le secrétaire général de la sous-section du syndicat SDT3S.
Ainsi, en guise d’alerte, observent-ils un sit-in qui sera suivi d’une assemblée générale, suite à la journée de port de brassards rouges qu’ils ont tenue récemment. Les syndicalistes qui s’engagent à radicaliser le combat par tous les moyens légaux en leur possession, ont d’ailleurs, « en guise d’avertissement, mis tous les programmes de santé à l’exception du PEV, en stand by, ainsi que les réunions de coordination, depuis le 13 mars (…)».
Sud Quotidien
Les syndicalistes qui multiplient les sorties pour de meilleures conditions d’existence et de travail de ces personnels (détenteurs d’un diplôme d’Etat), à partir d’un recrutement dans la Fonction publique (ministère de la Santé) ou la Fonction publique locale, n’ont toujours pas eu un retour satisfaisant de l’Etat, qui s’étend en promesses et de même que les collectivités territoriale,s qui se distinguent de par leur léthargie malgré les compétences qui leur sont transférées.
Forts de cela, des infirmiers, des infirmières et des sages-femmes, membres du Syndicat Démocratique des Travailleurs de la Santé et du secteur Social (SDT3S), ont observé, avant-hier, un sit-in au niveau du centre de santé de Matam.
En provenance des 27 postes de santé que compte la région, les blouses blanches qui ont abandonné les structures de soin, ont élevé la voix pour exiger de l’Etat le respect de leurs revendications. Parmi celles-ci, le recrutement du personnel communautaire (Infirmiers, ICP et sages-femmes diplômés) en service au niveau des postes de santé, où ils occupent des responsabilités.
« Devant l’inertie que l‘Etat affiche face à la satisfaction de cette revendication que nous ne cessons d’agiter depuis 2021, nous avons pris l’option de durcir la lutte pour nous faire entendre », a martelé Thierno Kébé, le secrétaire général de la sous-section du syndicat SDT3S.
Ainsi, en guise d’alerte, observent-ils un sit-in qui sera suivi d’une assemblée générale, suite à la journée de port de brassards rouges qu’ils ont tenue récemment. Les syndicalistes qui s’engagent à radicaliser le combat par tous les moyens légaux en leur possession, ont d’ailleurs, « en guise d’avertissement, mis tous les programmes de santé à l’exception du PEV, en stand by, ainsi que les réunions de coordination, depuis le 13 mars (…)».
Sud Quotidien