Dans un village du département de Matam, à plus de 30 kilomètres du chef-lieu de région, des villageois de Tarawo ne veulent plus de l’Infirmière Chef de Poste (ICP). Les populations souhaitent tout simplement qu’elle soit relevée de son poste.
Et pour cause ? La praticienne, habitante d’un village d’à côté, Danthialy, d’où est originaire l’ancien ministre de la Justice, Me Malick Sall, est accusée de manquer de considération envers les malades. Mais également de mettre en avant ses médicaments qu’elle vend au détriment de ceux disponibles à la pharmacie de l’établissement sanitaire. Pour un des membres du Comité de Gestion, la dame, plus connue sous le nom de Madame Ball, s’occupe plus de ses activités, notamment l’élevage et le commerce, au lieu de prendre soin des patients qu’elle refuse de prendre en charge, informe "Le Témoin".
Selon cette autre habitante de ce village, à plusieurs reprises, elle a prescrit de fausses ordonnances pour des malades. ‘’Un jour, elle a prescrit à ma mère des médicaments contre des douleurs cardiaques, alors qu’elle ne souffrait que de l’hypertension. Une fois à Ourossogui, le médecin a dit que c’est inadmissible qu’une infirmière prescrive une ordonnance contre des douleurs cardiaques pour une hypertendue. En plus de cela, elle apeure les malades, surtout celles qui portent une grossesse’’, a dit la dame.
Les populations, fatiguées de cette situation, se sont rapprochées du Préfet et du Médecin-chef de région, qui n’ont pas manqué d’essayer de faire revenir l’ICP à la raison, mais leurs tentatives sont toujours restées vaines.
Et pour cause ? La praticienne, habitante d’un village d’à côté, Danthialy, d’où est originaire l’ancien ministre de la Justice, Me Malick Sall, est accusée de manquer de considération envers les malades. Mais également de mettre en avant ses médicaments qu’elle vend au détriment de ceux disponibles à la pharmacie de l’établissement sanitaire. Pour un des membres du Comité de Gestion, la dame, plus connue sous le nom de Madame Ball, s’occupe plus de ses activités, notamment l’élevage et le commerce, au lieu de prendre soin des patients qu’elle refuse de prendre en charge, informe "Le Témoin".
Selon cette autre habitante de ce village, à plusieurs reprises, elle a prescrit de fausses ordonnances pour des malades. ‘’Un jour, elle a prescrit à ma mère des médicaments contre des douleurs cardiaques, alors qu’elle ne souffrait que de l’hypertension. Une fois à Ourossogui, le médecin a dit que c’est inadmissible qu’une infirmière prescrive une ordonnance contre des douleurs cardiaques pour une hypertendue. En plus de cela, elle apeure les malades, surtout celles qui portent une grossesse’’, a dit la dame.
Les populations, fatiguées de cette situation, se sont rapprochées du Préfet et du Médecin-chef de région, qui n’ont pas manqué d’essayer de faire revenir l’ICP à la raison, mais leurs tentatives sont toujours restées vaines.