D’emblée, celui qui est aussi le fondateur de l’entreprise, nous renseigne que le contentieux ne porte « que sur 5 millions FCfa » et cette somme représente la prime que la créatrice et scénariste principale de la série, aurait dû toucher pour la livraison de 32 épisodes de cette troisième et ultime saison de la série à succès.
Elle a livré 32 épisodes intégrant le personnage principal de Marème Dial, mais faute d’accord entre l’équipe de production et l’actrice Halima Gadji qui incarne le personnage, décision a été prise de réécrire toute la saison sans la « maîtresse » de Cheikh Diagne. Avec le lancement de la saison, « il y avait beaucoup de pression et pas mal de tensions mais il fallait le faire ». La jeune femme s’y colle et commence à livrer les scénarios, mais elle s’arrête au bout de 10 épisodes, sonnant par la même occasion, le glas de sa collaboration avec la maison de production.
M. Ndour raconte qu’il a pris acte et par la suite, la décision que MARODI va continuer sans la créatrice. « Nous nous sommes entretenus et il n’y avait aucune animosité entre nous. Je lui ai fait savoir que nous avons pris l’engagement d’aller au bout de la série comme toutes les autres et que nous allions le faire. C’est comme ça que nous avons géré et réécrit jusqu’à la fin des 32 épisodes.»
Le producteur et la scénariste avaient pris l’habitude de faire un état des revenus chaque semestre pour leur partage, depuis la première saison. Et lors du dernier état en début 2022, Kalista a réclamé 21 millions FCfa pour le reliquat de son contrat, tandis que MARODI ne reconnaît devoir que 16 millions : « Je lui ai dit que je ne pouvais pas lui remettre les 5 millions FCfa qu’elle devait toucher à la livraison des épisodes. Tout simplement, parce qu’elle n’est pas allée au bout du projet et que les objectifs n’ont pas été atteints. C’est cela qui a créé le différend ».
Le producteur assure que Kalista a déjà recouvré presque la totalité des revenus initialement prévus dans son contrat, alors que, concrètement, elle n’a été impliquée que dans un tiers de la saison. « Normalement, si je le voulais, j’aurais même pu entamer une action en justice ».
Comme pour faire encore preuve de sa bonne foi, Serigne Massamba Ndour nous apprend que quand la série a débarqué sur Amazon Prime en fin d’année, malgré le contentieux en cours, « nous l’avons dûment informée et assuré qu’on fera le partage une fois l’argent reçu ».
Quid de la procédure en cours ? « Nous, nous avons fait appel et nous faisons confiance en la justice de notre pays. S’il faut aller jusqu’à la cour de cassation, nous le ferons…»
Elle a livré 32 épisodes intégrant le personnage principal de Marème Dial, mais faute d’accord entre l’équipe de production et l’actrice Halima Gadji qui incarne le personnage, décision a été prise de réécrire toute la saison sans la « maîtresse » de Cheikh Diagne. Avec le lancement de la saison, « il y avait beaucoup de pression et pas mal de tensions mais il fallait le faire ». La jeune femme s’y colle et commence à livrer les scénarios, mais elle s’arrête au bout de 10 épisodes, sonnant par la même occasion, le glas de sa collaboration avec la maison de production.
M. Ndour raconte qu’il a pris acte et par la suite, la décision que MARODI va continuer sans la créatrice. « Nous nous sommes entretenus et il n’y avait aucune animosité entre nous. Je lui ai fait savoir que nous avons pris l’engagement d’aller au bout de la série comme toutes les autres et que nous allions le faire. C’est comme ça que nous avons géré et réécrit jusqu’à la fin des 32 épisodes.»
Le producteur et la scénariste avaient pris l’habitude de faire un état des revenus chaque semestre pour leur partage, depuis la première saison. Et lors du dernier état en début 2022, Kalista a réclamé 21 millions FCfa pour le reliquat de son contrat, tandis que MARODI ne reconnaît devoir que 16 millions : « Je lui ai dit que je ne pouvais pas lui remettre les 5 millions FCfa qu’elle devait toucher à la livraison des épisodes. Tout simplement, parce qu’elle n’est pas allée au bout du projet et que les objectifs n’ont pas été atteints. C’est cela qui a créé le différend ».
Le producteur assure que Kalista a déjà recouvré presque la totalité des revenus initialement prévus dans son contrat, alors que, concrètement, elle n’a été impliquée que dans un tiers de la saison. « Normalement, si je le voulais, j’aurais même pu entamer une action en justice ».
Comme pour faire encore preuve de sa bonne foi, Serigne Massamba Ndour nous apprend que quand la série a débarqué sur Amazon Prime en fin d’année, malgré le contentieux en cours, « nous l’avons dûment informée et assuré qu’on fera le partage une fois l’argent reçu ».
Quid de la procédure en cours ? « Nous, nous avons fait appel et nous faisons confiance en la justice de notre pays. S’il faut aller jusqu’à la cour de cassation, nous le ferons…»