Le gouvernement centrafricain a pu prendre connaissance du rapport de Human Rights Watch (HRW) sur le massacre de plus de 30 civils dans la région de Paoua. Par la voix de son ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement centrafricain, il a réagi à ce rapport. D’après Ange-Maxime Kazagui, le document est fouillé et crédible, et le ministre promet que justice sera faite.
« Cette question a été remise à la justice qui est en train, évidemment, d’enquêter. Cela veut dire connaître tous les ressorts de ce crime odieux, en identifier tous les auteurs, les co-auteurs, les complices… et surtout, le ou les commanditaire(s). Et c’est ce que le gouvernement, à travers la justice, est en train de faire », a assuré Ange-Maxime Kazagui au micro de RFI.
« Quand nous le disons ainsi, ce ne sont pas que des mots. Il s’agit pour nous de faire toute la lumière sur l’assassinat odieux de nos compatriotes, poursuit le ministre. Surtout après que nous ayons négocié et signé des accords avec les différents groupes armés. »
« Bien sûr, ajoute-t-il, nous pouvons aujourd’hui simplement lister les personnes qui ont été évoquées dans les différents rapports, y compris celui de Human Rights Watch. Mais quoi qu’il en soit, il faut aller vers la justice. Et je crois que ces éléments qui sont mis à disposition, à travers le rapport de Human Rights Watch, sont déjà à disposition du procureur de la République ».
RFI
« Cette question a été remise à la justice qui est en train, évidemment, d’enquêter. Cela veut dire connaître tous les ressorts de ce crime odieux, en identifier tous les auteurs, les co-auteurs, les complices… et surtout, le ou les commanditaire(s). Et c’est ce que le gouvernement, à travers la justice, est en train de faire », a assuré Ange-Maxime Kazagui au micro de RFI.
« Quand nous le disons ainsi, ce ne sont pas que des mots. Il s’agit pour nous de faire toute la lumière sur l’assassinat odieux de nos compatriotes, poursuit le ministre. Surtout après que nous ayons négocié et signé des accords avec les différents groupes armés. »
« Bien sûr, ajoute-t-il, nous pouvons aujourd’hui simplement lister les personnes qui ont été évoquées dans les différents rapports, y compris celui de Human Rights Watch. Mais quoi qu’il en soit, il faut aller vers la justice. Et je crois que ces éléments qui sont mis à disposition, à travers le rapport de Human Rights Watch, sont déjà à disposition du procureur de la République ».
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