"19 jeunes et une femme ont été arrêtés ce matin par des gendarmes. Ils sont détenus à la Gendarmerie de Ziguinchor", a indiqué à l’APS, Abdou Sané, le président de l’Association des jeunes de Toubacouta, qui dit avoir fait le tour des familles pour compter le nombre d’interpellations.
Une autre source contactée sur place, a informé que les gendarmes ont interpellé 16 personnes dont une femme. Elle a ajouté que ces interpellations entrent dans le cadre de l’enquête du massacre de Boffa qui a fait 14 morts et 7 blessés.
Parmi les 16 personnes interpellées figurent 4 jeunes qui ont récemment fait l’objet d’une condamnation à Ziguinchor, selon un autre témoin contacté par l’APS.
Membres d’un comité villageois de surveillance des forêts, ils ont été jugés, condamnés puis libérés en octobre dernier dans le cadre d’un conflit avec des exploitants forestiers.
Les victimes - 14 morts et 7 blessés - avaient été interceptées par plusieurs hommes armés, dans la forêt classée de Bayottes. Elles avaient été forcées à se coucher par terre avant d’être froidement fusillées.
Lundi, la zone militaire numéro 5 de Ziguinchor (sud) avait assuré être engagée jusqu’à la limite de ses moyens, dans la traque des "malfaiteurs" à l’origine de la tuerie.
Une autre source contactée sur place, a informé que les gendarmes ont interpellé 16 personnes dont une femme. Elle a ajouté que ces interpellations entrent dans le cadre de l’enquête du massacre de Boffa qui a fait 14 morts et 7 blessés.
Parmi les 16 personnes interpellées figurent 4 jeunes qui ont récemment fait l’objet d’une condamnation à Ziguinchor, selon un autre témoin contacté par l’APS.
Membres d’un comité villageois de surveillance des forêts, ils ont été jugés, condamnés puis libérés en octobre dernier dans le cadre d’un conflit avec des exploitants forestiers.
Les victimes - 14 morts et 7 blessés - avaient été interceptées par plusieurs hommes armés, dans la forêt classée de Bayottes. Elles avaient été forcées à se coucher par terre avant d’être froidement fusillées.
Lundi, la zone militaire numéro 5 de Ziguinchor (sud) avait assuré être engagée jusqu’à la limite de ses moyens, dans la traque des "malfaiteurs" à l’origine de la tuerie.