“Je pense, a-t-il expliqué que les deux vont de soi : la nécessité du respect des libertés et la nécessité que les institutions de la République jouent leur rôle dans la défense des citoyens et des citoyennes, et en même que les citoyens et les citoyennes, les partis politiques en particulier jouent leur rôle d’apaisement dans leurs démarches pour la conquête du pouvoir.”
D’ailleurs, interrogé sur sa ligne politique, le leader du Mouvement pour la transformation nationale (Mtn) a pris ses distances avec l’opposition radicale incarnée par le leader du Pastef, Ousmane Sonko.
“Promotion de la connaissance et de la compétence”
“Nous avons une ligne politique fondée sur trois principes”, a-t-il argué, énumérant, d’abord, les valeurs : “il y a un constat au Sénégal que les valeurs sont en train de se déliter. Nous sommes en train de perdre ce que les anciens nous ont légué. Nous sommes en train de perdre ce que la religion musulmane et chrétienne nous ont légué de bonnes valeurs. Nous sommes en train de perdre ce que l’éducation, la formation auraient dû donner à la jeunesse.”
Ensuite, a-t-il poursuivi, “notre deuxième principe, c’est la connaissance et la compétence. Nous sommes au siècle de l’économie de la connaissance. Nous considérons que dans ce pays qui a produit de grands hommes religieux mais essentiellement des hommes de connaissance comme El Hadji Oumar Foutihou Tall, El Hadji Malick SY, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, El Hadji Ibrahima Niasse, et bien d’autres, la connaissance et la compétence n’ont plus la valeur qu’elles devraient avoir.”
“Nous sommes pour que la violence s’estompe”
Avant d’ajouter : “Enfin, la troisième chose, c’est la paix. Parce que la paix, c’est le fondement de la construction d’un développement qui puisse avoir un impact sur les citoyens et les citoyennes. Nous travaillons avec tous ceux qui respectent ces principes.”
Pour lui, “il nous faut transformer ce pays, transformer les mentalités qui ont malheureusement changé en général dans le mauvais sens. Il faut rétablir ce que le Sénégalais a toujours été quand on dit ‘’terre de téranga” (hospitalité).
Il retient que cela ne peut pas se faire “dans un climat où on destitue et décrédibilise les Institutions, où la violence devient la règle générale. Le pays en a assez de la violence, comme le pays en a assez des privations de libertés”.
D’ailleurs, interrogé sur sa ligne politique, le leader du Mouvement pour la transformation nationale (Mtn) a pris ses distances avec l’opposition radicale incarnée par le leader du Pastef, Ousmane Sonko.
“Promotion de la connaissance et de la compétence”
“Nous avons une ligne politique fondée sur trois principes”, a-t-il argué, énumérant, d’abord, les valeurs : “il y a un constat au Sénégal que les valeurs sont en train de se déliter. Nous sommes en train de perdre ce que les anciens nous ont légué. Nous sommes en train de perdre ce que la religion musulmane et chrétienne nous ont légué de bonnes valeurs. Nous sommes en train de perdre ce que l’éducation, la formation auraient dû donner à la jeunesse.”
Ensuite, a-t-il poursuivi, “notre deuxième principe, c’est la connaissance et la compétence. Nous sommes au siècle de l’économie de la connaissance. Nous considérons que dans ce pays qui a produit de grands hommes religieux mais essentiellement des hommes de connaissance comme El Hadji Oumar Foutihou Tall, El Hadji Malick SY, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, El Hadji Ibrahima Niasse, et bien d’autres, la connaissance et la compétence n’ont plus la valeur qu’elles devraient avoir.”
“Nous sommes pour que la violence s’estompe”
Avant d’ajouter : “Enfin, la troisième chose, c’est la paix. Parce que la paix, c’est le fondement de la construction d’un développement qui puisse avoir un impact sur les citoyens et les citoyennes. Nous travaillons avec tous ceux qui respectent ces principes.”
Pour lui, “il nous faut transformer ce pays, transformer les mentalités qui ont malheureusement changé en général dans le mauvais sens. Il faut rétablir ce que le Sénégalais a toujours été quand on dit ‘’terre de téranga” (hospitalité).
Il retient que cela ne peut pas se faire “dans un climat où on destitue et décrédibilise les Institutions, où la violence devient la règle générale. Le pays en a assez de la violence, comme le pays en a assez des privations de libertés”.