VIPEOPLES.NET Mary Beye n'est pas qu'une écrivaine talentueuse. Derrière ses airs de femme douce et gracieuse se cache une redoutable pratiquant des arts martiaux. « Lorsque j’ai laissé le karaté, j’ai découvert le Vôvinam Viet Vo Dao. C’était un sport qui me rapprochait de la culture vietnamienne et donc j’ai entrepris de prendre des cours. Comme j’avais une bonne base avec la pratique de karaté, j’ai vite évolué. J’ai été championne régionale de Dakar, championne nationale, puis championne d’Afrique, ensuite sacrée championne du monde», confie Merry Bey, auteure du « train de la vie », au quotidien L'Observateur.
Et quid de la réaction des hommes quand ces derniers apprennent qu'elle a pratiqué les arts martiaux? Sur ce plan Merry Bey se veut un brin rassurante.
« Je ne sais pas si cela les repousse, mais en général lorsqu’ils sont au courant, ils se méfient. Ils se disent peut-être qu’ils ont intérêt à faire gaffe. Alors que les femmes qui ont pratiqué les arts martiaux sont les plus douces. Il faut aussi dire que j’ai un caractère assez trempé et je ne me laisse pas faire, maintenant si cela fait fuir les hommes, je n’en sais rien. Il faudra leur demander… »
Et quid de la réaction des hommes quand ces derniers apprennent qu'elle a pratiqué les arts martiaux? Sur ce plan Merry Bey se veut un brin rassurante.
« Je ne sais pas si cela les repousse, mais en général lorsqu’ils sont au courant, ils se méfient. Ils se disent peut-être qu’ils ont intérêt à faire gaffe. Alors que les femmes qui ont pratiqué les arts martiaux sont les plus douces. Il faut aussi dire que j’ai un caractère assez trempé et je ne me laisse pas faire, maintenant si cela fait fuir les hommes, je n’en sais rien. Il faudra leur demander… »