Après le décès de Malick Bâ, la communauté sénégalaise du Maroc vient d’enregistrer un nouveau décès dans le royaume chérifien.
Il s’agit de Boubacar Sonko, un jeune migrant sénégalais âgé de 27 ans, qui a perdu la vie la semaine passée lors d’une course-poursuite avec les policiers marocains dans la forêt de Nador, dans le nord du Maroc.
Boubacar avait quitté le Sénégal pour venir au Maroc dans le but de transiter pour joindre l’Espagne clandestinement. Mais malheureusement, son projet migratoire n’a pas abouti.
Dans le nord du Maroc, beaucoup de migrants subsahariens s’installent dans les forêts périlleuses de Nador, Tanger et Tétouan, pour traverser les frontières espagnoles et entrer à Ceuta ou Melilla: deux enclaves espagnoles qui se trouvent dans le territoire marocain.
Cette traversée est très risquée et ces personnes tentées par la migration font face à d’énormes difficultés, dont des agressions faites par des vagabonds appelés « Clochards » et des poursuites perpétrées à leur endroit.
BOUMLA
Dans ces forêts dangereuses, les policiers marocains viennent tous les matins à 4h pour chasser les migrants qui y sont installés : Cette opération appelée BOUMLA, fait silencieusement beaucoup de victimes.
Il s’agit de Boubacar Sonko, un jeune migrant sénégalais âgé de 27 ans, qui a perdu la vie la semaine passée lors d’une course-poursuite avec les policiers marocains dans la forêt de Nador, dans le nord du Maroc.
Boubacar avait quitté le Sénégal pour venir au Maroc dans le but de transiter pour joindre l’Espagne clandestinement. Mais malheureusement, son projet migratoire n’a pas abouti.
Dans le nord du Maroc, beaucoup de migrants subsahariens s’installent dans les forêts périlleuses de Nador, Tanger et Tétouan, pour traverser les frontières espagnoles et entrer à Ceuta ou Melilla: deux enclaves espagnoles qui se trouvent dans le territoire marocain.
Cette traversée est très risquée et ces personnes tentées par la migration font face à d’énormes difficultés, dont des agressions faites par des vagabonds appelés « Clochards » et des poursuites perpétrées à leur endroit.
BOUMLA
Dans ces forêts dangereuses, les policiers marocains viennent tous les matins à 4h pour chasser les migrants qui y sont installés : Cette opération appelée BOUMLA, fait silencieusement beaucoup de victimes.