VIPEOPLES.NET : Sans aucun statut juridique, l’épouse du Chef de l’Etat, à l’image de tous les pays du monde, n’en demeure pas moins, une partenaire particulière. Fut-elle discrète ou silencieuse ! Mais bien au-delà de cette discrétion ou de ce silence, elle reste tout même sous les feux des projecteurs. Par le truchement de l’accession de son mari, M. Macky SALL à la magistrature suprême, Marième FAYE SALL est devenue par la force des choses la Première Dame de la République du Sénégal.
Même si son rôle est extraconstitutionnel dans notre charte fondamentale, la Première Dame du Sénégal joue un rôle de premier plan pour aider et assister son mari de Président. Et Marième FAYE SALL semble l’avoir bien compris en répondant à « ses détracteurs » qu’en tant «qu’épouse du Président SALL, elle se doit d’être sa première conseillère». Femme respectée et adorée, mère de famille, elle prend son nouveau rôle de Première Dame à cœur. Une expérience nouvelle mais particulièrement excitante pour la First Lady. «Je vois l’importance de toute cette cabale que l’on porte sur mon dos parce que j’épaule justement mon époux dans le cadre de sa mission de diriger ce pays », analyse Mme Sall . Quelle femme ne le ferait pas pour son mari, sommes-nous tentés de dire ? La réponse coule de source comme l’a si bien compris l’épouse de M. SALL. Et elle crie à qui veut l’entendre : «Je sers de conseillère à mon mari comme je l’ai toujours été». Avant de conclure : «Je le demeurerai partout et surtout pour ce qui fera avancer le pays». Parce que justement la Première Dame semble refuser de faire une fixation morbide en ce sens que la stratégie du soupçon est toujours mauvaise conseillère. Armée de sa force infatigable et d’un fort dynamisme, tirés de sa foi, Mme SALL ne veut aucunement dévier ni être déviée de son chemin qui est d’aider son mari de Président à « Servir le Sénégal ». Un rôle pris comme un sacerdoce basé sur un souci permanent de s’acquitter de ses responsabilités avec efficacité. Même si elle n’est pas élue et ne remplit pas des fonctions précises, la First Lady du Sénégal s’est surtout fait remarquer dans les œuvres sociales. En apportant assistance et confort aux victimes des inondations. Son rôle ne s’est pas seulement arrêté aux bonnes œuvres sociales. Elle qui a sacrifié ses études et sa carrière uniquement pour être au service de son mari qu’elle ne s’imaginait même pas qu’il serait Président ! Faisant souvent l’objet d’un abus de superlatifs désavantageux et de qualificatifs hallucinants, la première vraie sénégalaise à l’avenue Léopold Sédar Senghor ne veut sûrement pas «assiéger » le pouvoir de son mari. Elle n’en a même pas le pouvoir encore moins la prérogative puisque ce n’est pas elle qui a été élue. Mais … être Première Dame «c’est l’emploi non-rémunéré le plus difficile au monde », reprenant Pat Nixon (Femme du Président américain Nixon), la First Lady entend accompagner Macky SALL en faisant face aux difficultés. Et elle semble être prête et préparée à incarner sa fonction d’épouse et confidente modèle, œuvrant pour la réussite de son mari. Marième FAYE SALL ne saurait faire exception à la tendance générale qui est celle d’être conseillère et confidente de son mari. Fut-il Président de la République. La Première Dame ne paraît pas austère : on a le sentiment qu’elle travaille en toute liberté, qu’elle sourit à la vie et rend heureux son mari, ses enfants et les Sénégalais qui la respectent, l’admirent pour sa simplicité et ses convictions humanitaires.
Même si son rôle est extraconstitutionnel dans notre charte fondamentale, la Première Dame du Sénégal joue un rôle de premier plan pour aider et assister son mari de Président. Et Marième FAYE SALL semble l’avoir bien compris en répondant à « ses détracteurs » qu’en tant «qu’épouse du Président SALL, elle se doit d’être sa première conseillère». Femme respectée et adorée, mère de famille, elle prend son nouveau rôle de Première Dame à cœur. Une expérience nouvelle mais particulièrement excitante pour la First Lady. «Je vois l’importance de toute cette cabale que l’on porte sur mon dos parce que j’épaule justement mon époux dans le cadre de sa mission de diriger ce pays », analyse Mme Sall . Quelle femme ne le ferait pas pour son mari, sommes-nous tentés de dire ? La réponse coule de source comme l’a si bien compris l’épouse de M. SALL. Et elle crie à qui veut l’entendre : «Je sers de conseillère à mon mari comme je l’ai toujours été». Avant de conclure : «Je le demeurerai partout et surtout pour ce qui fera avancer le pays». Parce que justement la Première Dame semble refuser de faire une fixation morbide en ce sens que la stratégie du soupçon est toujours mauvaise conseillère. Armée de sa force infatigable et d’un fort dynamisme, tirés de sa foi, Mme SALL ne veut aucunement dévier ni être déviée de son chemin qui est d’aider son mari de Président à « Servir le Sénégal ». Un rôle pris comme un sacerdoce basé sur un souci permanent de s’acquitter de ses responsabilités avec efficacité. Même si elle n’est pas élue et ne remplit pas des fonctions précises, la First Lady du Sénégal s’est surtout fait remarquer dans les œuvres sociales. En apportant assistance et confort aux victimes des inondations. Son rôle ne s’est pas seulement arrêté aux bonnes œuvres sociales. Elle qui a sacrifié ses études et sa carrière uniquement pour être au service de son mari qu’elle ne s’imaginait même pas qu’il serait Président ! Faisant souvent l’objet d’un abus de superlatifs désavantageux et de qualificatifs hallucinants, la première vraie sénégalaise à l’avenue Léopold Sédar Senghor ne veut sûrement pas «assiéger » le pouvoir de son mari. Elle n’en a même pas le pouvoir encore moins la prérogative puisque ce n’est pas elle qui a été élue. Mais … être Première Dame «c’est l’emploi non-rémunéré le plus difficile au monde », reprenant Pat Nixon (Femme du Président américain Nixon), la First Lady entend accompagner Macky SALL en faisant face aux difficultés. Et elle semble être prête et préparée à incarner sa fonction d’épouse et confidente modèle, œuvrant pour la réussite de son mari. Marième FAYE SALL ne saurait faire exception à la tendance générale qui est celle d’être conseillère et confidente de son mari. Fut-il Président de la République. La Première Dame ne paraît pas austère : on a le sentiment qu’elle travaille en toute liberté, qu’elle sourit à la vie et rend heureux son mari, ses enfants et les Sénégalais qui la respectent, l’admirent pour sa simplicité et ses convictions humanitaires.