Arrêtés le jour du Maouloud à Kaolack, alors qu’ils célébraient ce que la presse a présenté comme un mariage, onze individus accusés de participer à un mariage homosexuel ont été difficilement présentés au procureur avant que ce dernier ne les relâche, faute de preuves.
Sur les circonstances de leur libération, le site de Jeune Afrique révèle ce lundi 25 janvier qu’ils ont été relâchés à 02 heures du matin. Les présumés homosexuels ont été dissimulés dans des véhicules banalisés, aux quatre coins du pays, relate le site consulté à buzz.sn. Ils l’ont échappé belle! Car les Kaolackois étaient prêts à leur servir une correction dont ils se souviendraient à jamais.
Profitant de leur liberté, quelques-uns d’entre eux ont donné leur version des faits à la branche sénégalaise de l’association Aides qui s’active dans la prévention du VIH auprès des groupes vulnérables.
De leurs témoignages, la thèse d’un “banal anniversaire” est accréditée. Dans le même temps, le concierge est démenti. Lequel racontait aux journalistes dès les premières heures de l’affaire que deux jeunes se sont présentés à lui “pour me supplier de leur donner une salle de classe”.
Dans la version servie par les présumés homosexuels à l’Ong Aides, la salle a été louée pour 12 500 francs CFA. Aussi, soutiennent-ils être tous passés devant le gardien du lycée, qui buvait le thé avec sa femme…
Un prénommé Moussa* pour sa part s’est confié à Jeuneafrique.com et il réfute la thèse du mariage. A l’en croire, c’était une fête d’anniversaire à laquelle l’avait convié son ami Assane*. Lorsque la police a débarqué sur les lieux, il n’a pas jugé nécessaire de détaller étant entendu qu’il avait par devers lui sa carte nationale d’identité. Mais cela ne l’exonéra pas d’une arrestation suivie d’une garde à vue. Il raconte à Jeuneafrique.com visité à buzz.sn qu’un policier lui a demandé de reconnaître que ses co-prévenus sont des homosexuels en échange d’une relaxe.
Les sources judiciaires du site réfutent la thèse selon laquelle une robe de mariage, une bague et des préservatifs ont été trouvés au lycée Ibrahima Diouf où les faits ont eu lieu. Mais Mame Mactar Guèye de Jamra est formel: c’était bel et bien un mariage gay.
Sur les circonstances de leur libération, le site de Jeune Afrique révèle ce lundi 25 janvier qu’ils ont été relâchés à 02 heures du matin. Les présumés homosexuels ont été dissimulés dans des véhicules banalisés, aux quatre coins du pays, relate le site consulté à buzz.sn. Ils l’ont échappé belle! Car les Kaolackois étaient prêts à leur servir une correction dont ils se souviendraient à jamais.
Profitant de leur liberté, quelques-uns d’entre eux ont donné leur version des faits à la branche sénégalaise de l’association Aides qui s’active dans la prévention du VIH auprès des groupes vulnérables.
De leurs témoignages, la thèse d’un “banal anniversaire” est accréditée. Dans le même temps, le concierge est démenti. Lequel racontait aux journalistes dès les premières heures de l’affaire que deux jeunes se sont présentés à lui “pour me supplier de leur donner une salle de classe”.
Dans la version servie par les présumés homosexuels à l’Ong Aides, la salle a été louée pour 12 500 francs CFA. Aussi, soutiennent-ils être tous passés devant le gardien du lycée, qui buvait le thé avec sa femme…
Un prénommé Moussa* pour sa part s’est confié à Jeuneafrique.com et il réfute la thèse du mariage. A l’en croire, c’était une fête d’anniversaire à laquelle l’avait convié son ami Assane*. Lorsque la police a débarqué sur les lieux, il n’a pas jugé nécessaire de détaller étant entendu qu’il avait par devers lui sa carte nationale d’identité. Mais cela ne l’exonéra pas d’une arrestation suivie d’une garde à vue. Il raconte à Jeuneafrique.com visité à buzz.sn qu’un policier lui a demandé de reconnaître que ses co-prévenus sont des homosexuels en échange d’une relaxe.
Les sources judiciaires du site réfutent la thèse selon laquelle une robe de mariage, une bague et des préservatifs ont été trouvés au lycée Ibrahima Diouf où les faits ont eu lieu. Mais Mame Mactar Guèye de Jamra est formel: c’était bel et bien un mariage gay.