« Le Pastef/Guinguinéo, dans la même lignée que toutes les sections départementales du Sénégal, dénonce les persécutions, dont sont victimes ses membres et leur leader le Président Ousmane Sonko. Et, depuis sa création en 2014, elle est la formation politique la plus diabolisée du pays, la plus traquée de l’histoire du Sénégal », a rappelé Dr Ismaila Diallo, député à l’Assemblée nationale.
Le coordinateur départemental de Pastef/Guinguinéo a réaffirmé que le Sénégal connaît un recul démocratique depuis la deuxième alternance de 2012, sous Macky Sall. « Les droits humains les plus élémentaires sont fréquemment piétinés, le droit de manifester, la liberté d’expression… la justice est instrumentalisée contre tout opposant populaire ou membre de la société civile exprimant des idées contraires à celles des membres du pouvoir en place », se désole M. Diallo.
Ainsi, le parlementaire a dénoncé les bavures et la répression aveugle des forces de défense et de sécurité contre les citoyens, la floraison de lois liberticides et la violation des droits humains qui fleurissent sous le règne de Macky Sall. « La loi sur le parrainage, la modification du code pénal et celui du code de procédure pénale qui, in fine, pourraient assimiler les discours politiques et les manifestations pacifiques à des actes de terrorisme, l’élargissement des pouvoirs de surveillance de la police, la militarisation des corps comme la police et la gendarmerie, les coupures de fréquences des médias notamment Walf Fadjri », a-t-il listé.
Pour conclure, le Dr Ismaila Diallo et ses alliés du Pur, de Takhawou Sénégal, ont exigé de la retenue de la part de l’État et des forces de défense et sécurité, l’adoption de comportements responsables pour préserver la paix civile, comme le fait de libérer les otages politiques, et d’organiser une élection libre, transparente et inclusive pour 2024.
Le coordinateur départemental de Pastef/Guinguinéo a réaffirmé que le Sénégal connaît un recul démocratique depuis la deuxième alternance de 2012, sous Macky Sall. « Les droits humains les plus élémentaires sont fréquemment piétinés, le droit de manifester, la liberté d’expression… la justice est instrumentalisée contre tout opposant populaire ou membre de la société civile exprimant des idées contraires à celles des membres du pouvoir en place », se désole M. Diallo.
Ainsi, le parlementaire a dénoncé les bavures et la répression aveugle des forces de défense et de sécurité contre les citoyens, la floraison de lois liberticides et la violation des droits humains qui fleurissent sous le règne de Macky Sall. « La loi sur le parrainage, la modification du code pénal et celui du code de procédure pénale qui, in fine, pourraient assimiler les discours politiques et les manifestations pacifiques à des actes de terrorisme, l’élargissement des pouvoirs de surveillance de la police, la militarisation des corps comme la police et la gendarmerie, les coupures de fréquences des médias notamment Walf Fadjri », a-t-il listé.
Pour conclure, le Dr Ismaila Diallo et ses alliés du Pur, de Takhawou Sénégal, ont exigé de la retenue de la part de l’État et des forces de défense et sécurité, l’adoption de comportements responsables pour préserver la paix civile, comme le fait de libérer les otages politiques, et d’organiser une élection libre, transparente et inclusive pour 2024.