La capitalisation boursière de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm), a franchi le 12 septembre 2023, la barre des « 8 000 milliards FCfa », soit un doublement sur les 10 dernières années, a dit hier, jeudi 26 octobre, à Dakar, le Directeur général de Brvm, Edoh Kossi Ameounvé, à l’ouverture de la première édition du Forum du patrimoine et de l’investissement.
Ainsi la Brvm s’est hissée à la « 5e place » des bourses africaines, en termes de capitalisation boursière, derrière « Johannesburg SE, la Bourse de Casablanca, le Nigerian Exchange, The Egyptian Exchange », a expliqué le Dg de la Brvm. Les disruptions technologiques envahissent de plus en plus le marché des capitaux. Face à cette innovation irréversible qui rebat intégralement les cartes du secteur de la finance, la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) a organisé la toute première rencontre de ce genre.
Lequel forum a rassemblé une forte communauté de professionnels de la gestion du patrimoine et de l’investissement, ainsi que de nombreux acteurs du marché financier régional de l’Union économique monétaire ouest africain (Uemoa). Le Premier ministre Amadou Bâ dans son mot d’ouverture de cet événement de standard international, a affirmé que la contribution de la Brvm à la croissance économique de la sous-région est inestimable. Sous ce rapport, dira-t-il : « C’est grâce à des partenariats publics-privés solides que nous pouvons atteindre nos objectifs de développement ».
Et Amadou Bâ de magnifier ledit partenariat, en rappelant que la première émission obligataire du Sénégal a été réalisée en 2005, par le consortium Cgf Bourse et BiciBourse. Une émission qui a été le début d’une série de 19 opérations, ayant permis de lever plus de 1 600 milliards FCfa par syndication. « Ces opérations renforcent notre dynamisme sur le marché des titres publics, par adjudication auprès de l’agence Uemoa Titres », a-t-il relevé.
A noter que les titres publics permettent de dynamiser les sources de financement de l’État et apportent un renforcement de revenus aux investisseurs.
Ainsi la Brvm s’est hissée à la « 5e place » des bourses africaines, en termes de capitalisation boursière, derrière « Johannesburg SE, la Bourse de Casablanca, le Nigerian Exchange, The Egyptian Exchange », a expliqué le Dg de la Brvm. Les disruptions technologiques envahissent de plus en plus le marché des capitaux. Face à cette innovation irréversible qui rebat intégralement les cartes du secteur de la finance, la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) a organisé la toute première rencontre de ce genre.
Lequel forum a rassemblé une forte communauté de professionnels de la gestion du patrimoine et de l’investissement, ainsi que de nombreux acteurs du marché financier régional de l’Union économique monétaire ouest africain (Uemoa). Le Premier ministre Amadou Bâ dans son mot d’ouverture de cet événement de standard international, a affirmé que la contribution de la Brvm à la croissance économique de la sous-région est inestimable. Sous ce rapport, dira-t-il : « C’est grâce à des partenariats publics-privés solides que nous pouvons atteindre nos objectifs de développement ».
Et Amadou Bâ de magnifier ledit partenariat, en rappelant que la première émission obligataire du Sénégal a été réalisée en 2005, par le consortium Cgf Bourse et BiciBourse. Une émission qui a été le début d’une série de 19 opérations, ayant permis de lever plus de 1 600 milliards FCfa par syndication. « Ces opérations renforcent notre dynamisme sur le marché des titres publics, par adjudication auprès de l’agence Uemoa Titres », a-t-il relevé.
A noter que les titres publics permettent de dynamiser les sources de financement de l’État et apportent un renforcement de revenus aux investisseurs.