Démenti : « Nous souhaitons apporter un démenti formel et catégorique aux accusations infondées publiées par le journal Yoor Yoor dans son édition du 25 juillet 2024. Il est allégué à la « une » de ce jour : « LONASE : Marché de Gré à gré de 29 367 300 000 F CFA octroyé à la STI et Megasa Construction. La DCPM freine la boulimie de Doura Baldé ».
Ces affirmations sont fausses et les faits tels qu’ils sont présentés sont délibérément déformés. Nous tenons à clarifier les points suivants pour rétablir la vérité : Au vu de l’état de délabrement de certains de ses bâtiments, la LONASE a initié un vaste programme destiné à développer, à moderniser et à sécuriser ses infrastructures. La Direction de la Protection Civile (DPC) avait aussi demandé la démolition et la remise aux normes de sécurité de ces établissements.
Dans ce cadre, la LONASE a reçu une offre de partenariat de plusieurs entreprises pour la réalisation des travaux envisagés et leur préfinancement. Ces offres étant particulièrement intéressantes, nous avons requis l’avis de la Direction Centrale des Marchés Publiques (DCPM) pour un marché par entente directe vu l’urgence de la situation.
La DCPM dans un premier avis nous avait accordé son autorisation sur le principe et nous a invité à compléter notre dossier avant d’obtenir son avis définitif (Cf. lettre n° 000030/MFB/DCMP/DCV/44 du 17/01/24).
En raison d’un retard dans l’obtention des documents administratifs par les partenaires et la LONASE (Autorisation de construire et autorisation de démolir), la DCPM, à la suite de notre saisine en date du 13 mai 2024, a estimé que la requête sur le fondement de l’urgence impérieuse ne pouvait plus être envisagée. La DCPM nous a alors recommandé de lancer une procédure d’appel d’offres (Cf. lettre n° 0001360/MFB/DCMP/DCV/36 du 24/05/24).
Il ressort donc des faits évoqués que sous notre gestion, nous n’avons approuvé aucun marché de gré à gré pour la construction des projets cités. Nous regrettons profondément que ledit journal ait choisi de publier des allégations tendant à faire croire à une dilapidation et une gabegie des ressources publiques sans vérifier les faits auprès de nous.
Une telle démarche constitue une campagne de dénigrement inacceptable. Nous déplorons cette communication malveillante et nous réservons le droit d’apporter des suites judiciaires contre toute action de nature à ternir notre réputation ».
Abdourahmane Baldé Doura
Ces affirmations sont fausses et les faits tels qu’ils sont présentés sont délibérément déformés. Nous tenons à clarifier les points suivants pour rétablir la vérité : Au vu de l’état de délabrement de certains de ses bâtiments, la LONASE a initié un vaste programme destiné à développer, à moderniser et à sécuriser ses infrastructures. La Direction de la Protection Civile (DPC) avait aussi demandé la démolition et la remise aux normes de sécurité de ces établissements.
Dans ce cadre, la LONASE a reçu une offre de partenariat de plusieurs entreprises pour la réalisation des travaux envisagés et leur préfinancement. Ces offres étant particulièrement intéressantes, nous avons requis l’avis de la Direction Centrale des Marchés Publiques (DCPM) pour un marché par entente directe vu l’urgence de la situation.
La DCPM dans un premier avis nous avait accordé son autorisation sur le principe et nous a invité à compléter notre dossier avant d’obtenir son avis définitif (Cf. lettre n° 000030/MFB/DCMP/DCV/44 du 17/01/24).
En raison d’un retard dans l’obtention des documents administratifs par les partenaires et la LONASE (Autorisation de construire et autorisation de démolir), la DCPM, à la suite de notre saisine en date du 13 mai 2024, a estimé que la requête sur le fondement de l’urgence impérieuse ne pouvait plus être envisagée. La DCPM nous a alors recommandé de lancer une procédure d’appel d’offres (Cf. lettre n° 0001360/MFB/DCMP/DCV/36 du 24/05/24).
Il ressort donc des faits évoqués que sous notre gestion, nous n’avons approuvé aucun marché de gré à gré pour la construction des projets cités. Nous regrettons profondément que ledit journal ait choisi de publier des allégations tendant à faire croire à une dilapidation et une gabegie des ressources publiques sans vérifier les faits auprès de nous.
Une telle démarche constitue une campagne de dénigrement inacceptable. Nous déplorons cette communication malveillante et nous réservons le droit d’apporter des suites judiciaires contre toute action de nature à ternir notre réputation ».
Abdourahmane Baldé Doura